31-10-2012, 11:12:50
Je crois que tous nous souhaitons un arbitrage de qualité. Mais avant toute chose, nous voulons un arbitrage équitable.
Que cet arbitrage soit bon ou mauvais, au final, c'est infiniment moins important qu'un arbitrage qui "fait le match".
Et quand le score final ne sépare les deux équipes que d'un point, l'impact de l'arbitrage ne peut être escamoté d'un revers de main selon un splendide accès de fair play. Et que d'ajouter que le CSP a sans doute fait plus d'erreurs qui ont coûté plus que le point fatidique ne change rien à l'affaire et au sentiment final que nous ressentons.
Les équipes font des erreurs, par elles-mêmes ou grâce à l'adversaire. C'est le jeu. Et bien évidemment le CSP n'y échappe pas.
Les arbitres aussi font des erreurs, admettons, acceptons ces erreurs, car ils sont hommes. Mais dans ce cas, qu'ils se trompent des deux côtés. Nous savons très bien qu'il y a fréquemment compensation dans les sports où il y a beaucoup de coups de sifflet, comme le hand, le basket mais aussi le rugby. Il y a tout le temps des fautes à siffler. Que les arbitres en sifflent à due proportion des commises. Et quand ils se trompent, le moins possible, qu'ils compensent à due proportion de leurs erreurs également.
Le dernier QT du match contre Le Mans fut de toute évidence déséquilibré dans la répartition des coups de sifflet. Et que le CSP ait mal joué (mais bien moins mal qu'au QT3) ne constitue pas une raison et une justification de ce déséquilibre arbitral.
Cela a déjà été dit, mais répétons-le : en se trouvant avec 4 fautes collectives avant même la moitié du QT4, la tactique de jeu du CSP se trouvait modifiée. OK, le CSP n'avait qu'à "pas faire ces fautes-là ". Mais alors, qu'il en soit de même du Mans qui faisait autant de fautes que le CSP avec sa défense "rugueuse". Nous aurions eu droit à un concours de lancers francs et le plus adroit aurait gagné. Sur ce match, au QT4, les arbitres ont introduit un biais sur le déroulement du match. Et l'issue se joue à 1 point. Les arbitres portent donc une responsabilité quant au résultat.
Je ne dis pas que le CSP aurait gagné si les arbitres avec "justement" équilibré leurs coups de sifflet au QT4, mais il est sûr que vu leurs choix arbitraux, le CSP ne pouvait pas gagner sauf en cas de maladresse totale du Mans au LF.
Quant à l'attitude à adopter, hormis le jet d'objets et les agressions physiques en sortie de vestiaire, évidemment condamnables, les noms d'oiseau n'ont jamais changé le monde, même s'ils n'apportent pas grand chose. Ils savent très bien quand ils arbitrent bien ou mal. Et leurs réactions, leurs décisions, sont sans doute plus dictées par leurs émotions mal maîtrisées que par des intentions malveillantes la plupart du temps. Ils ne sont pas là pour "se payer Beaublanc", que la salle leur soit hostile ou conciliante, ni même "se payer Giannakis" pour des raisons encore plus désobligeantes. A eux aussi de réagir. Si ce job leur est par trop difficile, qu'ils en fassent un autre.
Que cet arbitrage soit bon ou mauvais, au final, c'est infiniment moins important qu'un arbitrage qui "fait le match".
Et quand le score final ne sépare les deux équipes que d'un point, l'impact de l'arbitrage ne peut être escamoté d'un revers de main selon un splendide accès de fair play. Et que d'ajouter que le CSP a sans doute fait plus d'erreurs qui ont coûté plus que le point fatidique ne change rien à l'affaire et au sentiment final que nous ressentons.
Les équipes font des erreurs, par elles-mêmes ou grâce à l'adversaire. C'est le jeu. Et bien évidemment le CSP n'y échappe pas.
Les arbitres aussi font des erreurs, admettons, acceptons ces erreurs, car ils sont hommes. Mais dans ce cas, qu'ils se trompent des deux côtés. Nous savons très bien qu'il y a fréquemment compensation dans les sports où il y a beaucoup de coups de sifflet, comme le hand, le basket mais aussi le rugby. Il y a tout le temps des fautes à siffler. Que les arbitres en sifflent à due proportion des commises. Et quand ils se trompent, le moins possible, qu'ils compensent à due proportion de leurs erreurs également.
Le dernier QT du match contre Le Mans fut de toute évidence déséquilibré dans la répartition des coups de sifflet. Et que le CSP ait mal joué (mais bien moins mal qu'au QT3) ne constitue pas une raison et une justification de ce déséquilibre arbitral.
Cela a déjà été dit, mais répétons-le : en se trouvant avec 4 fautes collectives avant même la moitié du QT4, la tactique de jeu du CSP se trouvait modifiée. OK, le CSP n'avait qu'à "pas faire ces fautes-là ". Mais alors, qu'il en soit de même du Mans qui faisait autant de fautes que le CSP avec sa défense "rugueuse". Nous aurions eu droit à un concours de lancers francs et le plus adroit aurait gagné. Sur ce match, au QT4, les arbitres ont introduit un biais sur le déroulement du match. Et l'issue se joue à 1 point. Les arbitres portent donc une responsabilité quant au résultat.
Je ne dis pas que le CSP aurait gagné si les arbitres avec "justement" équilibré leurs coups de sifflet au QT4, mais il est sûr que vu leurs choix arbitraux, le CSP ne pouvait pas gagner sauf en cas de maladresse totale du Mans au LF.
Quant à l'attitude à adopter, hormis le jet d'objets et les agressions physiques en sortie de vestiaire, évidemment condamnables, les noms d'oiseau n'ont jamais changé le monde, même s'ils n'apportent pas grand chose. Ils savent très bien quand ils arbitrent bien ou mal. Et leurs réactions, leurs décisions, sont sans doute plus dictées par leurs émotions mal maîtrisées que par des intentions malveillantes la plupart du temps. Ils ne sont pas là pour "se payer Beaublanc", que la salle leur soit hostile ou conciliante, ni même "se payer Giannakis" pour des raisons encore plus désobligeantes. A eux aussi de réagir. Si ce job leur est par trop difficile, qu'ils en fassent un autre.