14-05-2024, 14:19:17
@RoBlackman, je comprends en partie ce que tu essayes d'avancer, à savoir que notre club a une immense histoire, on a fait ce que tous les autres clubs de sports collectifs français n'ont pas fait à l'époque. On a gagné de multiples trophées nationaux et nous avons remporté les trois coupes européennes, mais tout cela, c'est un héritage qui enrichie notre mémoire et notre passion, pas le club. Nous n'avons rien gagné depuis 9 saisons et notre club est endetté pour diverses raisons, un repreneur ou un investisseur, ils n'investissent pas pour nos fanions, (bien qu'ils doivent être pris en compte) mais c'est sur l'avenir, et c'est tout un projet. Comment on gère cette dette ? Comment avoir un effectif sérieux au rabais pour tenter de s'approcher du Top 10, quelle vision à moyen-terme ? Quid du centre de formation ? Comment rattrapper le retard de clubs qui carburent en France comme Paris, Monaco et l'ASVEL ? L'investisseur ou le repreneur, il veut voir ce qui est viable pour l'avenir. Le cSp, c'est une entreprise, et comme dans toute entreprise, il faut des recettes et des bénéfices. Et avec ce qui s'est passé dans la période de l'après Forté, le club il ne vaut pas des dizaines de millions.
On sait que des clubs comme le Real de Madrid, le Barça ont des énormes dettes, mais il faut prendre en compte le système économique de l'Espagne qui n'est pas celui de la France (et encore il peut différer selon les régions avec leurs parlements), même au niveau fiscal. Tu peux rajouter les grands clubs grecs, les versements de salaires sont parfois folkloriques et pas forcément dans les temps. On touche à un problème d'uniformisation des règles économiques pour tous les pays qui participent à des coupes d'Europe, et c'est un vrai débat qui est très politique et qui peut nous dépasser.
Pour les Suns, Robert Sarver, l'a racheté 400 millions de dollars en effet, mais il faut rappeler que les Suns sortaient d'une période très difficile, à savoir qu'ils ne se sont pas remis de la période de l'après Barkley, il ne restait plus rien, tout était à refaire et ça a failli payer sportivement, mais d'un point de vue économique, que valent ces 400 millions sachant qu'on était avant la crise financière qu'a connu les USA en 2008, de plus, l'inflation a grimpé en flèche. La période "Nash, Stoudemire, Raja Bell" et bien d'autres, sans gagner le moindre trophée. A l'origine, il a fait sa fortune dans les banques, c'est un homme d'affaire mais il est passionné par le basket et c'est un natif de l'Arizona, il a joint l'utile à l'agréable, il avait de nombreuses parts dans la Franchise et il est vrai qu'il s'est fait des ronds en revendant la Franchise à Mat Ishbia, mais je suis désolé, la valeur de la Franchise a été surévaluée et ce dernier a payé beaucoup trop cher en ayant les yeux plus gros que le ventre. Regarde Mark Cuban, les MAVS, c'est son rêve de gosse, mais il ne s'en est jamais mis pleins les fouilles avec cette Franchise, malgré un titre en 2011, il a pleins d'autres divers investissements qui font de lui un milliardaire. La valeur d'une Franchise dépend de pleins d'éléments, son histoire, les règles fiscales de l'Etat où se trouve la Franchise, sa santé financière, ses actionnaires avec qui travailler, la qualité de l'effectif, le coût d'une Arena, le coût que va coûter l'effectif à venir pour avoir de l'ambition et pourquoi pas ramener de nouveaux investisseurs toujours plus fortunés. C'est tout un dynamisme. Tout ça peut varier d'une saison à une autre, les Suns ont énormément déçu cette saison malgré des ambitions exprimées. Je serai Mat Ishbia, je l'aurai franchement mauvaise. Pour les Lakers, Jerry Buss était aussi un passionné, mais comme beaucoup de proprios NBA il avait pleins d'autres investissements dans pleins de secteurs, il était à la tête d'un véritable empire. Sa fille, Jeany Buss est une femme d'affaire qui a repris les affaires de son père officieusement début 2010, mais c'est tout un empire qu'elle dirige, pas seulement les Lakers, si elle n'avait que cette Franchise, elle ne serait pas aussi puissante dans le monde des affaires qu'elle ne l'est aujourd'hui. Les Spurs actuels, ça vaut bien moins qu'à l'époque du "Big Three", même avec Wembanyama, sportivement tout est à reconstruire. Regarde les Pistons, ils valaient très cher au début des années 1990 pour se casser la gueule jusqu'à la fin des années 2000 pour reprendre de la valeur en 2003-2004-2005 pour se recasser la gueule après les déboires économiques de la ville de Detroit. La valeur d'une Franchise au fil des années, c'est parfois des montagnes russes. Quand on regarde les proprios de NBA, ce sont souvent des hommes d'affaires passionnés qui ont pleins de business ailleurs et c'est là que l'argent vient.
On sait que des clubs comme le Real de Madrid, le Barça ont des énormes dettes, mais il faut prendre en compte le système économique de l'Espagne qui n'est pas celui de la France (et encore il peut différer selon les régions avec leurs parlements), même au niveau fiscal. Tu peux rajouter les grands clubs grecs, les versements de salaires sont parfois folkloriques et pas forcément dans les temps. On touche à un problème d'uniformisation des règles économiques pour tous les pays qui participent à des coupes d'Europe, et c'est un vrai débat qui est très politique et qui peut nous dépasser.
Pour les Suns, Robert Sarver, l'a racheté 400 millions de dollars en effet, mais il faut rappeler que les Suns sortaient d'une période très difficile, à savoir qu'ils ne se sont pas remis de la période de l'après Barkley, il ne restait plus rien, tout était à refaire et ça a failli payer sportivement, mais d'un point de vue économique, que valent ces 400 millions sachant qu'on était avant la crise financière qu'a connu les USA en 2008, de plus, l'inflation a grimpé en flèche. La période "Nash, Stoudemire, Raja Bell" et bien d'autres, sans gagner le moindre trophée. A l'origine, il a fait sa fortune dans les banques, c'est un homme d'affaire mais il est passionné par le basket et c'est un natif de l'Arizona, il a joint l'utile à l'agréable, il avait de nombreuses parts dans la Franchise et il est vrai qu'il s'est fait des ronds en revendant la Franchise à Mat Ishbia, mais je suis désolé, la valeur de la Franchise a été surévaluée et ce dernier a payé beaucoup trop cher en ayant les yeux plus gros que le ventre. Regarde Mark Cuban, les MAVS, c'est son rêve de gosse, mais il ne s'en est jamais mis pleins les fouilles avec cette Franchise, malgré un titre en 2011, il a pleins d'autres divers investissements qui font de lui un milliardaire. La valeur d'une Franchise dépend de pleins d'éléments, son histoire, les règles fiscales de l'Etat où se trouve la Franchise, sa santé financière, ses actionnaires avec qui travailler, la qualité de l'effectif, le coût d'une Arena, le coût que va coûter l'effectif à venir pour avoir de l'ambition et pourquoi pas ramener de nouveaux investisseurs toujours plus fortunés. C'est tout un dynamisme. Tout ça peut varier d'une saison à une autre, les Suns ont énormément déçu cette saison malgré des ambitions exprimées. Je serai Mat Ishbia, je l'aurai franchement mauvaise. Pour les Lakers, Jerry Buss était aussi un passionné, mais comme beaucoup de proprios NBA il avait pleins d'autres investissements dans pleins de secteurs, il était à la tête d'un véritable empire. Sa fille, Jeany Buss est une femme d'affaire qui a repris les affaires de son père officieusement début 2010, mais c'est tout un empire qu'elle dirige, pas seulement les Lakers, si elle n'avait que cette Franchise, elle ne serait pas aussi puissante dans le monde des affaires qu'elle ne l'est aujourd'hui. Les Spurs actuels, ça vaut bien moins qu'à l'époque du "Big Three", même avec Wembanyama, sportivement tout est à reconstruire. Regarde les Pistons, ils valaient très cher au début des années 1990 pour se casser la gueule jusqu'à la fin des années 2000 pour reprendre de la valeur en 2003-2004-2005 pour se recasser la gueule après les déboires économiques de la ville de Detroit. La valeur d'une Franchise au fil des années, c'est parfois des montagnes russes. Quand on regarde les proprios de NBA, ce sont souvent des hommes d'affaires passionnés qui ont pleins de business ailleurs et c'est là que l'argent vient.
ciao mozart!