(14-05-2024, 13:52:22)RoBlackman a écrit : . La municipalité de Pau a bradé le club (de leurs propres mots) pour 800000 euros, Mme Forte estime a raison, que ce club vaut plus, levez la tête à Beaublanc! De toute façon elle le cèdera de gré ou de force, si elle ne trouve pas des fonds rapidement. Donc keep cool... Surpris de la valeur marchande que donnent certains supporters à ce club.
(14-05-2024, 14:00:22)the dude a écrit : C'est dingue de vivre dans le déni à ce point là
Tu l'écris toi-même :"Le basket en France est un sport confidentiel", peu importe qui en est le responsable.
Vas te balader dans la rue ailleurs qu'à Limoges et demande aux gens s'ils connaissent le cSp.
Le club est endetté jusqu'au cou, perd de l'argent chaque années depuis des années, tous les sponsors se barrent, on est largué sportivement par rapport aux grosses équipes qui jouent l'Euroligue et surtout PERSONNE ne veut le racheter à part Peluhet.
Tu trouves qu'un million c'est trop peu, ben attends 24H00 et le club vaudra 0 €.
Donc la ville de Pau a bradé le club pour 800 000 €. Elle en était propriétaire la ville de Pau ?
Et puis, bradé à 800k€, peut être, mais aujourd'hui Pau est en proB. C'est ça que tu veux pour le CSP ?
Et tu ne nous dis toujours pas COMBIEN il vaut SELON TOI le CSP ?
Allez, mouille-toi un peu, dis nous ton chiffre, comme si c'était toi le vendeur. A 20% près, tu vois, tu as de la marge.
Et sans noyer le poisson comme tu tentes de le faire à chaque fois. Juste un chiffre ! Combien ?
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.