De tout ce qui a été dit et écrit depuis hier par les uns et les autres, il en ressort :
- que le département ne versera pas les 90k€ de reste de subvention 23-24 (on l'ignorait jusque-là)
- que la mairie ne versera pas le reste de subvention de 618k€ de 23-24 (on nous avait dit que c'était 400k€)
- que le déficit d'exploitation serait autour de 1M€ à fin juin 24, selon la DNCCG (même ordre de grandeur que l'an passé) et le département confirme (via son audit externe). Quel cador ce Lanave !
La trésorerie du CSP doit donc être totalement exsangue, et le sera d'autant plus si les subventions ne sont pas versées. Faut-il que les banques aient quelques assurances (caution des actionnaires ?) pour suivre le CSP encore quelques semaines sur ce point crucial (jusqu'au 15 mai).
Quoiqu'il en soit, et si les banques ne le font pas avant, la DNCCG sifflera la fin du temps réglementaire au 15 mai. A cette date, les caisses devront officiellement être renflouées au minimum de la valeur des déficits de l'exercice en cours (si j'ai bien compris), et de plus le CSP devra proposer un plan de financement crédible pour son budget prévisionnel 24-25 pour être engagé en Elite. Sinon ?
Jamot est serein, et CF, ben ... on ne sait pas !
En fait, on peut être très pessimiste si on s'en tient au silence de l'actionnaire majoritaire (CF), secondé par Lanave qui lui est totalement déconsidéré par les performances commerciales qui sont tout sauf satisfaisantes contrairement à ce qu'il dit. Ce pessimisme s'accroît encore si l'on songe que le clan CF peut être jusqu’au-boutiste au point de mettre le club en péril en ne cédant pas la main sur le pilotage du club.
L'aspect optimiste des choses, en partie du moins, c'est que le CSP intéresse des investisseurs ; c'est mieux que si c'était des croque-morts.
Dixit Jamot, il y aurait 2 pistes :
- une via Peluhet et Intermarché, a priori solide, mais qui doit impliquer une perte de majorité du clan CF, et donc dans l'attente, mais qui a toutes les faveurs locales (mairie, département ...). Les montants évoqués sont de l'ordre de 1,5 à 2M€ à court terme (à confirmer ?)
- une via un/des investisseurs mystères, pour un montant évoqué de 4 à 5 M€ (sur plusieurs saisons ?), supposément amenés par Lanave, comportant 10 investisseurs locaux et 1 national, dont l'identité ne pourrait pas être révélée avant fin juin (on se demande bien pourquoi), mais qui devra être connue par la DNCCG au 15 mai, ne leur déplaisent, même si la confidentialité est exigée. Solution privilégiée par le clan CF. Mais comme Lanave est derrière, méfiance ....
Je reste (modérément) optimiste car je sais que le CSP a peu de chance de se retrouver dans la situation de 2004, au moins parce qu'il existe une solution via Peluhet, en sachant que le jusqu’au-boutisme du clan CF peut amener le club à la cessation de paiement. Et dans ce cas, ils sont obligés de passer la main. Mais le club sera alors dans un sale état, mais pas mort.
- que le département ne versera pas les 90k€ de reste de subvention 23-24 (on l'ignorait jusque-là)
- que la mairie ne versera pas le reste de subvention de 618k€ de 23-24 (on nous avait dit que c'était 400k€)
- que le déficit d'exploitation serait autour de 1M€ à fin juin 24, selon la DNCCG (même ordre de grandeur que l'an passé) et le département confirme (via son audit externe). Quel cador ce Lanave !
La trésorerie du CSP doit donc être totalement exsangue, et le sera d'autant plus si les subventions ne sont pas versées. Faut-il que les banques aient quelques assurances (caution des actionnaires ?) pour suivre le CSP encore quelques semaines sur ce point crucial (jusqu'au 15 mai).
Quoiqu'il en soit, et si les banques ne le font pas avant, la DNCCG sifflera la fin du temps réglementaire au 15 mai. A cette date, les caisses devront officiellement être renflouées au minimum de la valeur des déficits de l'exercice en cours (si j'ai bien compris), et de plus le CSP devra proposer un plan de financement crédible pour son budget prévisionnel 24-25 pour être engagé en Elite. Sinon ?
Jamot est serein, et CF, ben ... on ne sait pas !
En fait, on peut être très pessimiste si on s'en tient au silence de l'actionnaire majoritaire (CF), secondé par Lanave qui lui est totalement déconsidéré par les performances commerciales qui sont tout sauf satisfaisantes contrairement à ce qu'il dit. Ce pessimisme s'accroît encore si l'on songe que le clan CF peut être jusqu’au-boutiste au point de mettre le club en péril en ne cédant pas la main sur le pilotage du club.
L'aspect optimiste des choses, en partie du moins, c'est que le CSP intéresse des investisseurs ; c'est mieux que si c'était des croque-morts.
Dixit Jamot, il y aurait 2 pistes :
- une via Peluhet et Intermarché, a priori solide, mais qui doit impliquer une perte de majorité du clan CF, et donc dans l'attente, mais qui a toutes les faveurs locales (mairie, département ...). Les montants évoqués sont de l'ordre de 1,5 à 2M€ à court terme (à confirmer ?)
- une via un/des investisseurs mystères, pour un montant évoqué de 4 à 5 M€ (sur plusieurs saisons ?), supposément amenés par Lanave, comportant 10 investisseurs locaux et 1 national, dont l'identité ne pourrait pas être révélée avant fin juin (on se demande bien pourquoi), mais qui devra être connue par la DNCCG au 15 mai, ne leur déplaisent, même si la confidentialité est exigée. Solution privilégiée par le clan CF. Mais comme Lanave est derrière, méfiance ....
Je reste (modérément) optimiste car je sais que le CSP a peu de chance de se retrouver dans la situation de 2004, au moins parce qu'il existe une solution via Peluhet, en sachant que le jusqu’au-boutisme du clan CF peut amener le club à la cessation de paiement. Et dans ce cas, ils sont obligés de passer la main. Mais le club sera alors dans un sale état, mais pas mort.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.