22-04-2019, 14:54:26
Cette expression peut tout à fait être employée sans sa connotation péjorative. Comme reflet que certains partent avant d'autres parce qu'ils sentent le danger qui les menace et préfère se mettre à l'abri au plus tôt.
Je veux bien qu'on fasse le distinguo entre Bourgain et Veireras et à plus forte raison Diaz, mais Bourgain n'est pas d'une "blanchitude" absolue en hors du problème de sa communication "twittéenne" que chacun a ressenti comme il le veut/peut. D'ailleurs, c'est plus sa prise de parole lors de la 1ère année à la présentation de l'équipe qui m'avait déplue, comme une mise au défi du public du CSP qui en a vu d'autres. Une très maladroite façon d'essayer de passer la brosse à reluire "au meilleur public de France". Dès ce jour, je n'avais pas accroché à sa façon de communiquer.
Je dirais qu'il a fait un travail de DG honnête sur sa 1ère année, mais moins bien, et plus sujet à caution sur sa seconde. Qu'il puisse sâêtre trompé sur Perrantes, ça arrive, mais bien plus grave est la gestion de Samuels. Et cela doublement.
Tout d'abord en imposant Samuels à Milling contre son gré (pile poil comme faisait FF), mettant par la même Boutsiele et Jaiteh en porte-à -faux, car les 2 se sont sacrifiés pour jouer "4" et l'autre pas, et secondement, le plus grave, en conservant Samuels après son incartade de l'automne, ce qui ne pouvait conduire qu'à la mise sur la touche de Milling en aggravant encore le sentiment de toute puissance et d'intouchabilité de Samuels. Pour quel bénéfice pour l'équipe ? J'attends encore de voir (je parle de Samuels).
Je veux bien qu'on fasse le distinguo entre Bourgain et Veireras et à plus forte raison Diaz, mais Bourgain n'est pas d'une "blanchitude" absolue en hors du problème de sa communication "twittéenne" que chacun a ressenti comme il le veut/peut. D'ailleurs, c'est plus sa prise de parole lors de la 1ère année à la présentation de l'équipe qui m'avait déplue, comme une mise au défi du public du CSP qui en a vu d'autres. Une très maladroite façon d'essayer de passer la brosse à reluire "au meilleur public de France". Dès ce jour, je n'avais pas accroché à sa façon de communiquer.
Je dirais qu'il a fait un travail de DG honnête sur sa 1ère année, mais moins bien, et plus sujet à caution sur sa seconde. Qu'il puisse sâêtre trompé sur Perrantes, ça arrive, mais bien plus grave est la gestion de Samuels. Et cela doublement.
Tout d'abord en imposant Samuels à Milling contre son gré (pile poil comme faisait FF), mettant par la même Boutsiele et Jaiteh en porte-à -faux, car les 2 se sont sacrifiés pour jouer "4" et l'autre pas, et secondement, le plus grave, en conservant Samuels après son incartade de l'automne, ce qui ne pouvait conduire qu'à la mise sur la touche de Milling en aggravant encore le sentiment de toute puissance et d'intouchabilité de Samuels. Pour quel bénéfice pour l'équipe ? J'attends encore de voir (je parle de Samuels).