Vous pensez ce que vous voulez. Je n'ai pas le même avis.
Pour moi l'usure mentale et le haut niveau ne font pas bon ménage. Déjà que dans un boulot "ordinaire", c'est déjà pas simple, alors dans un contexte de compétition exacerbée, ça l'est encore moins. Ce n'est pas une excuse, c'est juste une situation à éprouver.
Pour vous donner à penser, songez à ces films où des personnages vivent une épreuve où ils se battent, comme par exemple un naufrage qui en principe n'est pas prévu au départ. Ils ont combattu le sort, ils sauvent leur peau , et il finissent pas toucher au rivage et ils s'effondrent sur la plage. Ils sont en général montrés complètement groggy.
Toute proportion gardée entre sauver sa vie personnelle dans un naufrage et faire du basket, il y a tout de même de çà par analogie. Les gars ont embarqué avec un chef d'état major et capitaine pour une mission qui était les PO. Et et en cours de route, ils perdent les 2 et cela s'est converti en un chemin de croix pour sauver sportivement le club. Il n'est nullement question de salaire, de confort ou de passion là dedans. Penser qu'enfiler un short et des baskets suffit pour s'épanouir dans son "travail", cela me paraît un peu simple pour le fonctionnement d'un être humain. Et ici, on eut penser que le groupe n'a pas si mal fonctionné et que les fragilités des uns ont plus ou moins été compensées par les autres en cours de route. Et comme là, on touche au but, ça lâche.
A Beaublanc, ce sera différent parce qu'ils devraient aller chercher ce supplément d'âme (car c'est de cela dont il est question) pour se battre jusqu'au bout, poussés par le public. Mais quand cela fait défaut à l'extérieur, ça explose désormais comme du pop corn, tout comme la première vague renverse un château de sable à marée montante. Mais malgré ce supplément d'âme à domicile, vous verrez combien ce sera difficile d'aller prendre 1 ou 2 victoires.
Il faut juste éviter de projeter sa fierté personnelle dans celle supposée des autres. La mécanique psychique, cela ne marche pas comme ça.
C'est ma vision des choses.
Pour moi l'usure mentale et le haut niveau ne font pas bon ménage. Déjà que dans un boulot "ordinaire", c'est déjà pas simple, alors dans un contexte de compétition exacerbée, ça l'est encore moins. Ce n'est pas une excuse, c'est juste une situation à éprouver.
Pour vous donner à penser, songez à ces films où des personnages vivent une épreuve où ils se battent, comme par exemple un naufrage qui en principe n'est pas prévu au départ. Ils ont combattu le sort, ils sauvent leur peau , et il finissent pas toucher au rivage et ils s'effondrent sur la plage. Ils sont en général montrés complètement groggy.
Toute proportion gardée entre sauver sa vie personnelle dans un naufrage et faire du basket, il y a tout de même de çà par analogie. Les gars ont embarqué avec un chef d'état major et capitaine pour une mission qui était les PO. Et et en cours de route, ils perdent les 2 et cela s'est converti en un chemin de croix pour sauver sportivement le club. Il n'est nullement question de salaire, de confort ou de passion là dedans. Penser qu'enfiler un short et des baskets suffit pour s'épanouir dans son "travail", cela me paraît un peu simple pour le fonctionnement d'un être humain. Et ici, on eut penser que le groupe n'a pas si mal fonctionné et que les fragilités des uns ont plus ou moins été compensées par les autres en cours de route. Et comme là, on touche au but, ça lâche.
A Beaublanc, ce sera différent parce qu'ils devraient aller chercher ce supplément d'âme (car c'est de cela dont il est question) pour se battre jusqu'au bout, poussés par le public. Mais quand cela fait défaut à l'extérieur, ça explose désormais comme du pop corn, tout comme la première vague renverse un château de sable à marée montante. Mais malgré ce supplément d'âme à domicile, vous verrez combien ce sera difficile d'aller prendre 1 ou 2 victoires.
Il faut juste éviter de projeter sa fierté personnelle dans celle supposée des autres. La mécanique psychique, cela ne marche pas comme ça.
C'est ma vision des choses.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.