21-08-2021, 09:45:33
Que Monaco qui va joueur l'EL ne le garde pas ne veut pas dire pour autant qu'Inglis soit un joueur "nul ou sans intérêt", loin s'en faut.
Comparer Inglis à NBC n'a de sens que parce qu'iis ont joué tous les 2 au CSP, mais l'un en 3 et l'autre en 4.
Et comme dit plus haut, ce qui manque à l'un en 3, l'autre l'a en 4, et vice versa.
Et je préfèrerais un Inglis à un NBC pour ce qu'on aurait aujourd'hui à lui proposer. Toute considération salariale mise de côté.
Quant aux championnats "exotiques" comma la Bulgarie ou la Finlande par exemple, on est bien allé chercher A. Mohammed aux Pays-bas, et ce fut un régal.
Ces fameux US dits "de seconde zone" qui préférent JOUER au basket à moindre rémunération dans un championnat moins côté plutôt que faire banquette en étant mieux payé, et bien je préfère nettement cette mentalité que la seconde. Bien que cela ne constitue pas une garantie tous risques pour autant.
Avoir préféré un C. Banks (bon joueur ailleurs) à A. Mohammed (très investi au CSP) pour la 1ère montée en proA après le tunnel de proB avait été une funeste erreur. Et cela suivait celle d'E. Bing (trop petit) comme pivot lors du passage de N1 en proB. Et quand on regarde ce qu'a fait Passave-Ducteil en proA, même taille que Bing, on se dit que la taille ne fait pas tout en basket.
Et vous avez sûrement d'autres exemples pour le CSP, mais aussi des exemples contraires d'échecs de ces fameux "paris". Poitiers avait fait "monter" la moitié de son effectif de N1 en proA (le manque de budget a fini par les crucifier). Nanterre en a fait progresser un bon nombre durant son ascension vers la proA. Alingué est un exemple récent malgré son échec à la SIG. Au Portel aussi où le rapport au club, "le maillot" compte avec des joueurs morts de faim pour défendre "leur club", et par delà leurs qualités intrinsèques.
Dans ce registre, nos discussions sur Paumier illustrent combien il est difficile pour un joueur "estampillé" à un niveau de se faire un place à l'échelon supérieur. Il y a indéniablement une part de risque.
Au-delà du talent de basketteur, le mental et l'investissement pèsent lourd dans la réussite d'un joueur.
Comparer Inglis à NBC n'a de sens que parce qu'iis ont joué tous les 2 au CSP, mais l'un en 3 et l'autre en 4.
Et comme dit plus haut, ce qui manque à l'un en 3, l'autre l'a en 4, et vice versa.
Et je préfèrerais un Inglis à un NBC pour ce qu'on aurait aujourd'hui à lui proposer. Toute considération salariale mise de côté.
Quant aux championnats "exotiques" comma la Bulgarie ou la Finlande par exemple, on est bien allé chercher A. Mohammed aux Pays-bas, et ce fut un régal.
Ces fameux US dits "de seconde zone" qui préférent JOUER au basket à moindre rémunération dans un championnat moins côté plutôt que faire banquette en étant mieux payé, et bien je préfère nettement cette mentalité que la seconde. Bien que cela ne constitue pas une garantie tous risques pour autant.
Avoir préféré un C. Banks (bon joueur ailleurs) à A. Mohammed (très investi au CSP) pour la 1ère montée en proA après le tunnel de proB avait été une funeste erreur. Et cela suivait celle d'E. Bing (trop petit) comme pivot lors du passage de N1 en proB. Et quand on regarde ce qu'a fait Passave-Ducteil en proA, même taille que Bing, on se dit que la taille ne fait pas tout en basket.
Et vous avez sûrement d'autres exemples pour le CSP, mais aussi des exemples contraires d'échecs de ces fameux "paris". Poitiers avait fait "monter" la moitié de son effectif de N1 en proA (le manque de budget a fini par les crucifier). Nanterre en a fait progresser un bon nombre durant son ascension vers la proA. Alingué est un exemple récent malgré son échec à la SIG. Au Portel aussi où le rapport au club, "le maillot" compte avec des joueurs morts de faim pour défendre "leur club", et par delà leurs qualités intrinsèques.
Dans ce registre, nos discussions sur Paumier illustrent combien il est difficile pour un joueur "estampillé" à un niveau de se faire un place à l'échelon supérieur. Il y a indéniablement une part de risque.
Au-delà du talent de basketteur, le mental et l'investissement pèsent lourd dans la réussite d'un joueur.