15-10-2025, 10:09:11
C’est en effet une pincée de points qu’il a manqué à Nanterre.
On en est encore à espérer plus que croire que notre équipe ne mettra pas autant de semaines et de mois qu’elle ne l’a fait la saison passée pour enfin revenir victorieuse d’un match loin de Beaublanc. Et contrairement à la saison passée le plus souvent, ce match de Nanterre nous a laissé penser qu’elle est mieux armée que sa devancière pour cela.
Mieux armée par son effectif, plus expérimenté, plus équilibré, aux aptitudes à scorer bien plus larges que restreintes à peu de joueurs voire un seul comme l’an passé ; mieux armé aussi par son coaching, qui semble plus innovant au cours des matchs pour enrayer les moments faibles et relancer l’équipe vers une possible victoire. Mieux armée enfin parce que les joueurs ne sont plus dans le seul rôle défensif de sauver le club de la relégation, car même si on comprend bien le sens du message donné l’an passé après que le club soit passé si près de la catastrophe, on peut aussi comprendre combien cela peut être mentalement usant pour les joueurs quand son parcours sportif ne vous a pas vraiment préparé à éprouver cela : espérer gagner pour conjurer la peur des conséquences de la défaite.
Il a manqué quelques points au CSP lors du match de Nanterre. C’est un fait.
Au delà de l’expression « défaite encourageante », ou pas, il faut juste réfléchir à ce que chacun peut mettre derrière. Factuellement, une défaite n’est pas encourageante : c’est un résultat. Mais notre belle langue a ceci de formidable, c’est qu’en creux, elle donne souvent à penser. Parce qu’au-delà du fait, ce n’est évidemment pas la défaite qui est encourageant, mais le contenu du match qui a conduit à ce résultat qui en effet peut être porteur d’espoirs pour les matchs suivants.
Une « défaite encourageante », c’est presque l’opposé de l’autre expression bien utile qu’est le « si près, si loin » traduisant plus souvent les travaux de Sisyphe ou des Danaïdes que ceux de Goliath comme parfois le sport nous en propose.
Quelques points manquants donc, et chacun d’entre nous supporters de notre club pouvons imaginer où il ont fait défaut. A commencer pas l’adversaire, mais il est évidemment là pour ça. Bien sûr le 3e acteur qu’est le corps arbitral n’est jamais neutre pour aucune des 2 équipes, et il faut faire avec, et moins souvent avec sa partialité qu’avec des décisions trop variables d’une action à l’autre ou d’un match match à l’autre, rendant difficile la compréhension de certaines de leurs décisions à des moments cruciaux. Ainsi va l’arbitrage français, tatillon et bien souvent trop visible dans notre championnat.
Reste le 2e acteur qu’est notre équipe elle-même, avec ses forces et ses faiblesses. Et des faiblesses, il y en avait. A commencer par un effectif amputé de 2 joueurs, auquel on peut ajouter au moins un joueur pas totalement remis et qui fit cependant de son mieux. On peut aussi lister maintes actions plus ou moins biens jouées, des choix individuels parfois hasardeux ainsi que le juge de paix qu’est l’adresse sans un sport qui en requiert.
Nancy sera-t-il le lieu pour casser en tête le ruban victorieux ? C’est tout à fait possible. Aucun joueur autres que Tanner et Guissé n'est annoncé forfait. On peut espérer que Jovanovic se sente un peut mieux avec une semaine de plus. De son côté Lang nous a déjà rassuré. Reste les incertitudes côté Mason, à la fois son poignet plus ou moins douloureux et dont on ne sait trop quoi penser, mais aussi le fait de revenir jouer chez son ancien club où la rupture ne s’était pas faite dans les meilleures conditions. Si Amsellem et Franklin font un peu mieux qu’à Nanterre, et que leurs coéquipiers sont à la hauteur de leur talent, en effet, revenir avec la victoire semble bien possible.
Nancy ne semble pas plus fort que Nanterre et les conditions n’y seront pas tellement différentes même si la salle est plus grande. Nancy vient d’obtenir une confortable victoire à Boulazac (65-87). Préalablement, ce fut une courte défaite (80-88) à Gentilly face à Bourg. En ouverture du championnat, Nancy s’était fait rossé par l’Asvel : 115-71. Nancy présente un bilan opposé à celui du CSP avec 1V-2D. Ainsi donc, avec des adversaires moins fort, Nancy semble mieux jouer et réussit même à s’imposer hors de ses bases. Il ne faut pas douter une seule seconde que les lorrains voudront confirmer dès samedi prochain devant leurs supporters et engranger ainsi une seconde victoire.
Auront-ils les armes ?
En auront-ils plus que les limougeauds ?
Qui des coachs Lautié ou Gjergja saura mieux utiliser les siennes ?
Réponses samedi en soirée !
Allez le CSP !
On en est encore à espérer plus que croire que notre équipe ne mettra pas autant de semaines et de mois qu’elle ne l’a fait la saison passée pour enfin revenir victorieuse d’un match loin de Beaublanc. Et contrairement à la saison passée le plus souvent, ce match de Nanterre nous a laissé penser qu’elle est mieux armée que sa devancière pour cela.
Mieux armée par son effectif, plus expérimenté, plus équilibré, aux aptitudes à scorer bien plus larges que restreintes à peu de joueurs voire un seul comme l’an passé ; mieux armé aussi par son coaching, qui semble plus innovant au cours des matchs pour enrayer les moments faibles et relancer l’équipe vers une possible victoire. Mieux armée enfin parce que les joueurs ne sont plus dans le seul rôle défensif de sauver le club de la relégation, car même si on comprend bien le sens du message donné l’an passé après que le club soit passé si près de la catastrophe, on peut aussi comprendre combien cela peut être mentalement usant pour les joueurs quand son parcours sportif ne vous a pas vraiment préparé à éprouver cela : espérer gagner pour conjurer la peur des conséquences de la défaite.
Il a manqué quelques points au CSP lors du match de Nanterre. C’est un fait.
Au delà de l’expression « défaite encourageante », ou pas, il faut juste réfléchir à ce que chacun peut mettre derrière. Factuellement, une défaite n’est pas encourageante : c’est un résultat. Mais notre belle langue a ceci de formidable, c’est qu’en creux, elle donne souvent à penser. Parce qu’au-delà du fait, ce n’est évidemment pas la défaite qui est encourageant, mais le contenu du match qui a conduit à ce résultat qui en effet peut être porteur d’espoirs pour les matchs suivants.
Une « défaite encourageante », c’est presque l’opposé de l’autre expression bien utile qu’est le « si près, si loin » traduisant plus souvent les travaux de Sisyphe ou des Danaïdes que ceux de Goliath comme parfois le sport nous en propose.
Quelques points manquants donc, et chacun d’entre nous supporters de notre club pouvons imaginer où il ont fait défaut. A commencer pas l’adversaire, mais il est évidemment là pour ça. Bien sûr le 3e acteur qu’est le corps arbitral n’est jamais neutre pour aucune des 2 équipes, et il faut faire avec, et moins souvent avec sa partialité qu’avec des décisions trop variables d’une action à l’autre ou d’un match match à l’autre, rendant difficile la compréhension de certaines de leurs décisions à des moments cruciaux. Ainsi va l’arbitrage français, tatillon et bien souvent trop visible dans notre championnat.
Reste le 2e acteur qu’est notre équipe elle-même, avec ses forces et ses faiblesses. Et des faiblesses, il y en avait. A commencer par un effectif amputé de 2 joueurs, auquel on peut ajouter au moins un joueur pas totalement remis et qui fit cependant de son mieux. On peut aussi lister maintes actions plus ou moins biens jouées, des choix individuels parfois hasardeux ainsi que le juge de paix qu’est l’adresse sans un sport qui en requiert.
Nancy sera-t-il le lieu pour casser en tête le ruban victorieux ? C’est tout à fait possible. Aucun joueur autres que Tanner et Guissé n'est annoncé forfait. On peut espérer que Jovanovic se sente un peut mieux avec une semaine de plus. De son côté Lang nous a déjà rassuré. Reste les incertitudes côté Mason, à la fois son poignet plus ou moins douloureux et dont on ne sait trop quoi penser, mais aussi le fait de revenir jouer chez son ancien club où la rupture ne s’était pas faite dans les meilleures conditions. Si Amsellem et Franklin font un peu mieux qu’à Nanterre, et que leurs coéquipiers sont à la hauteur de leur talent, en effet, revenir avec la victoire semble bien possible.
Nancy ne semble pas plus fort que Nanterre et les conditions n’y seront pas tellement différentes même si la salle est plus grande. Nancy vient d’obtenir une confortable victoire à Boulazac (65-87). Préalablement, ce fut une courte défaite (80-88) à Gentilly face à Bourg. En ouverture du championnat, Nancy s’était fait rossé par l’Asvel : 115-71. Nancy présente un bilan opposé à celui du CSP avec 1V-2D. Ainsi donc, avec des adversaires moins fort, Nancy semble mieux jouer et réussit même à s’imposer hors de ses bases. Il ne faut pas douter une seule seconde que les lorrains voudront confirmer dès samedi prochain devant leurs supporters et engranger ainsi une seconde victoire.
Auront-ils les armes ?
En auront-ils plus que les limougeauds ?
Qui des coachs Lautié ou Gjergja saura mieux utiliser les siennes ?
Réponses samedi en soirée !
Allez le CSP !
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.