11-03-2018, 15:37:00
(Modification du message : 11-03-2018, 15:41:24 par Jefferson87.)
Bada a écrit :Jefferson87 a écrit :oui mais l'histoire de la dureté à l'entraînement, pourquoi ça marchait avant et plus maintenant ?hv63 a écrit :'tain Jefferson, tu fous franchement la trouille là !
:lol:
Les chiffres sortis par Marot font froid dans le dos hein !
Le coach parle d'un problème mental... bon en principe, quant on commence à sortir ce genre "d'arguments", c'est qu'un coach n'a pas de solutions à apporter.
Les entraînements se passent bien, les joueurs s'entraînent durs d'après le coach.
Alors c'est que les séances sont trop faciles par rapport à la dureté exigée en match. D'ou l'énorme décalage de rendu entraînement/match.
Je me rappelle des joueurs sous Boja qui disaient que les entraînements étaient plus durs que les matchs.
On en demande pas autant, mais je pense que le staff a trop été dans la consultation des états d'âme des uns et des autres.
Trop d'écoute et trop d'excuses acceptées (à cause des 2 matchs/semaine) font que la dureté n'est pas dans l'ADN de cette équipe.
Ecoutes même le coach le dit : "Je ne comprends pas." (Ce qui est d'ailleurs assez flippant de l'entendre dire ça).
Pour répondre à ta question, on peut avancer que, tout bêtement, par rapport à la 1ère partie de saison les adversaires eux progressent. Qu'ils connaissent mieux notre jeu, qui a trop peu évolué depuis pour les surprendre encore.
Que le fond de jeu d'une équipe en 1ère partie de saison n'a pas à être aussi affiné qu'en 2ème partie, vu que les adversaires sont eux aussi en construction.
Que les joueurs et/ou coachs ont pris des habitudes d'entraînement, en pensant que si c'est suffisant en octobre, ça passera aussi en mars. Ben non.
Je dis juste que quand t'es bon aux entraînements et nul en match, c'est que le gouffre de niveau (exigence, intensité, adversité, concentration) d'un entraînement est trop important par rapport à celui d'un match, et nos joueurs se prennent ce gouffre en pleine face à chaque fois.