C'est mon opinion depuis que le CSP a relevé la tête fin janvier.
Et pour parler des enjeux indirects de cette journée d'EC, regardons la situation de l'ASVEL. L'ASVEL n'est pas une équipe constituée, mais agglomérée. Mais on peut faire de belles choses, voire de très belles choses avec de l'aggloméré. Sauf quand l'aggloméré prend l'eau et perd sa consistance.
Dire que l'ASVEL est une équipe dâillusionnistes comme lu ailleurs, est osé. Un peu comme si on avait dit que le CSP 2013-14 en était une, celle des ingérables Acker et Green autres US JKE et JRR. On a vu le résultat lorsque ces gars-là (+Moerman et NBC) ont senti l'odeur et le sang des play off.
Pour gagner l'EC et la ProA, l'ASVEL a les talents en terme de basket, elle a aussi les caractères pour réussir, mais justement, des forts caractères, elle en peut être trop pour tenir toute une saison. Le coach a déjà explosé en vol. Si coach Parker met de l'huile juste où il faut quand il le faut, ça peut suffire ; il ne va pas apprendre à jouer au basket à Roberson, Slaughter, Watkins et consorts, pas plus que ne l'avait fait JM Dupraz.
Pour cette dernière journée de top16 d'EC, comme pour les précédentes, il n'y a rien à faire d'autre pour le CSP que de s'occuper de ses propres objectifs comme dit par d'autres. Pourquoi ne pas essayer de gagner avec une forte adversité ? Tant qu'à s'être tapé 2700 km de voyage avec un peu de galère pour les transports, autant essayer de ne pas l'avoir fait pour rien. S'économiser pour le prochain match contre Le Mans ne sera pas plus efficace que de s'étalonner dans la dureté contre Kazan. Les blessures éventuelles ? Il n'y en pas plus en match qu'à l'entrainement ! Et quand bien même le CSP perdrait, sauf à prendre une taule (>15 ou 20 points), cela ne devrait pas avoir trop d'incidence.
Quant à l'impact psychique d'une victoire, on sait combien cela est important. Seul les matchs peuvent aider à lutter contre l'inconstance des nôtres durant un match, car si dans l'ensemble, ils nous ont montré leur aptitude à revenir au score après avoir pris un éclat (sauf en janvier), le plus dur qui leur reste à faire, c'est de montrer de la dureté pour ne pas les prendre ces éclats. Nous avons 6 ou 7 joueurs capables dans un même match de mettre largement plus de 10 points. Kazan est typiquement ce genre de match où en résistant durement, tu emmagasines du positif. Aucun autre enjeu de que de sa faire plaisir parce que c'est d'abord un jeu avant d'être un métier, de jouer relâché sans je-m'en-foustisme.
Je veux y croire donc ! Allez le CSP
Et pour parler des enjeux indirects de cette journée d'EC, regardons la situation de l'ASVEL. L'ASVEL n'est pas une équipe constituée, mais agglomérée. Mais on peut faire de belles choses, voire de très belles choses avec de l'aggloméré. Sauf quand l'aggloméré prend l'eau et perd sa consistance.
Dire que l'ASVEL est une équipe dâillusionnistes comme lu ailleurs, est osé. Un peu comme si on avait dit que le CSP 2013-14 en était une, celle des ingérables Acker et Green autres US JKE et JRR. On a vu le résultat lorsque ces gars-là (+Moerman et NBC) ont senti l'odeur et le sang des play off.
Pour gagner l'EC et la ProA, l'ASVEL a les talents en terme de basket, elle a aussi les caractères pour réussir, mais justement, des forts caractères, elle en peut être trop pour tenir toute une saison. Le coach a déjà explosé en vol. Si coach Parker met de l'huile juste où il faut quand il le faut, ça peut suffire ; il ne va pas apprendre à jouer au basket à Roberson, Slaughter, Watkins et consorts, pas plus que ne l'avait fait JM Dupraz.
Pour cette dernière journée de top16 d'EC, comme pour les précédentes, il n'y a rien à faire d'autre pour le CSP que de s'occuper de ses propres objectifs comme dit par d'autres. Pourquoi ne pas essayer de gagner avec une forte adversité ? Tant qu'à s'être tapé 2700 km de voyage avec un peu de galère pour les transports, autant essayer de ne pas l'avoir fait pour rien. S'économiser pour le prochain match contre Le Mans ne sera pas plus efficace que de s'étalonner dans la dureté contre Kazan. Les blessures éventuelles ? Il n'y en pas plus en match qu'à l'entrainement ! Et quand bien même le CSP perdrait, sauf à prendre une taule (>15 ou 20 points), cela ne devrait pas avoir trop d'incidence.
Quant à l'impact psychique d'une victoire, on sait combien cela est important. Seul les matchs peuvent aider à lutter contre l'inconstance des nôtres durant un match, car si dans l'ensemble, ils nous ont montré leur aptitude à revenir au score après avoir pris un éclat (sauf en janvier), le plus dur qui leur reste à faire, c'est de montrer de la dureté pour ne pas les prendre ces éclats. Nous avons 6 ou 7 joueurs capables dans un même match de mettre largement plus de 10 points. Kazan est typiquement ce genre de match où en résistant durement, tu emmagasines du positif. Aucun autre enjeu de que de sa faire plaisir parce que c'est d'abord un jeu avant d'être un métier, de jouer relâché sans je-m'en-foustisme.
Je veux y croire donc ! Allez le CSP