@ Marcus : tu ne m'a pas convaincu sur les récentes prestations de nos intérieurs en général, hormis Paumier sur le dernier match.
Je ne trouve pas le coaching de Cancelleri très inspiré dans la gestion de ces joueurs-là.
Mais encore une fois, l'animation des lignes arrières est devenue tellement lisible, qu'ils n'ont que peu de chance, et de rares chances même d'avoir la balle dans de bonne conditions. D'ailleurs, ni Lang ni Massinburg n'ont de bons ballons également, alors les intérieurs ....
Je le répète, mais sans changement de tactique à la mène et sans arrêter le "bashing" de nos joueurs de second plan à la moindre erreur (Pinkins et Spencer en particulier), il est sur qu'ils n’apporteront rien de plus, voire de pire en pire. Un joueur, cela reste un être humain, avec des émotions. Même bien payé ou très bien payé.
Quelques phrases du coach dans le Popu de ce matin, après 4 défaites :
- "je vais réunir l'équipe et nous allons parler de choses qui n'ont rien à voir avec le prochain match"
(mais pourquoi tu attends 4 défaites pour le faire ?)
- "Quand tu es conscient d'une situation, c'est facile de voir d'où vient le problème. Mais quand tu te caches derrière des excuses, c'est compliqué"
(Mais QUI se cache ? Et donc selon lui, c'est "facile" de voir le problème. Donc facile de le corriger alors ?)
- "Nous avions peur. Pas tout le monde, mais le plupart d'entre nous. Je ne veux pas jouer avec des gens effrayés"
( Mais peur de quoi ? De qui ? De l'adversaire ou de lui ? )
- " Je n'ai peur de rien et je veux qu'on ait tous le même état d'esprit"
(une phrase plus loin, et le "nous" a disparu.)
- "Ceux qui ne pensent pas comme moi peuvent rester sur le banc"
(De la pure langue de bois ! Sachant qu'un joueur refusant d'entrer se mettrait en faute. Et même si l'on prend cela au 2nd degré, de toute façon, c'est LUI et LUI SEUL qui décide qui joue ou pas, quand et combien).
- "Et je jouerai 40 minutes avec 5 joueurs. Où est le problème ? Nous sommes soft... "
(Cela s'appelle produire du discours qui n'a aucune chance de se produire. S'il le fait, il se coupe de ses joueurs. De plus, en filigrane, il n'y aurait pas de hiérarchie dans l'équipe ? Mais les temps de jeu prouvent le contraire. Quant à la <<softitude>>, ce n'est pas ce que pensent les arbitres qui nous sifflent allègrement. Il est vrai que des fautes sont d'une totale inutilité, j'en conviens)
- "Aujourd'hui, nous affrontons des adversaires qui nous respectent comme une équipe de play off. Avant, ce n'était pas le cas."
(Sous entendu, ils nous prenaient de haut, comme juste capables de jouer le maintien. Vous noterez le "AVANT". C'est quand ce "AVANT" ? Novembre-décembre ? Jusqu'à la bonne série qui a fait remonter le CSP ? Et depuis les victoires contre Monaco et ASVEL, les adversaires étudient attentivement le jeu ? C'est pas cool de leur part.)
Dis donc Massimo, si les adversaires "te calculent" désormais, tu la changes quand ta tactique ?
Parce que ce n'est pas l'effectif qui peut être bouleversé désormais.
Je ne trouve pas le coaching de Cancelleri très inspiré dans la gestion de ces joueurs-là.
Mais encore une fois, l'animation des lignes arrières est devenue tellement lisible, qu'ils n'ont que peu de chance, et de rares chances même d'avoir la balle dans de bonne conditions. D'ailleurs, ni Lang ni Massinburg n'ont de bons ballons également, alors les intérieurs ....
Je le répète, mais sans changement de tactique à la mène et sans arrêter le "bashing" de nos joueurs de second plan à la moindre erreur (Pinkins et Spencer en particulier), il est sur qu'ils n’apporteront rien de plus, voire de pire en pire. Un joueur, cela reste un être humain, avec des émotions. Même bien payé ou très bien payé.
Quelques phrases du coach dans le Popu de ce matin, après 4 défaites :
- "je vais réunir l'équipe et nous allons parler de choses qui n'ont rien à voir avec le prochain match"
(mais pourquoi tu attends 4 défaites pour le faire ?)
- "Quand tu es conscient d'une situation, c'est facile de voir d'où vient le problème. Mais quand tu te caches derrière des excuses, c'est compliqué"
(Mais QUI se cache ? Et donc selon lui, c'est "facile" de voir le problème. Donc facile de le corriger alors ?)
- "Nous avions peur. Pas tout le monde, mais le plupart d'entre nous. Je ne veux pas jouer avec des gens effrayés"
( Mais peur de quoi ? De qui ? De l'adversaire ou de lui ? )
- " Je n'ai peur de rien et je veux qu'on ait tous le même état d'esprit"
(une phrase plus loin, et le "nous" a disparu.)
- "Ceux qui ne pensent pas comme moi peuvent rester sur le banc"
(De la pure langue de bois ! Sachant qu'un joueur refusant d'entrer se mettrait en faute. Et même si l'on prend cela au 2nd degré, de toute façon, c'est LUI et LUI SEUL qui décide qui joue ou pas, quand et combien).
- "Et je jouerai 40 minutes avec 5 joueurs. Où est le problème ? Nous sommes soft... "
(Cela s'appelle produire du discours qui n'a aucune chance de se produire. S'il le fait, il se coupe de ses joueurs. De plus, en filigrane, il n'y aurait pas de hiérarchie dans l'équipe ? Mais les temps de jeu prouvent le contraire. Quant à la <<softitude>>, ce n'est pas ce que pensent les arbitres qui nous sifflent allègrement. Il est vrai que des fautes sont d'une totale inutilité, j'en conviens)
- "Aujourd'hui, nous affrontons des adversaires qui nous respectent comme une équipe de play off. Avant, ce n'était pas le cas."
(Sous entendu, ils nous prenaient de haut, comme juste capables de jouer le maintien. Vous noterez le "AVANT". C'est quand ce "AVANT" ? Novembre-décembre ? Jusqu'à la bonne série qui a fait remonter le CSP ? Et depuis les victoires contre Monaco et ASVEL, les adversaires étudient attentivement le jeu ? C'est pas cool de leur part.)
Dis donc Massimo, si les adversaires "te calculent" désormais, tu la changes quand ta tactique ?
Parce que ce n'est pas l'effectif qui peut être bouleversé désormais.