15-07-2025, 10:26:16
Je vois un peu les choses comme Caliméro.
Dans la pratique de Palmer la saison passée, il faut dissocier 2 périodes de recrutement. Avant et après la cuisante défaite contre Le Portel à Beaublanc. Et considérer aussi les choix initiaux de l'été 2024.
Pour l'été 2024, Palmer a fait plusieurs paris, en essayant d'en couvrir un par un autre, pour cause de MS faible. Exemple d'Amsellem derrière Terry en plus de Beaufort, plus Bouzidi. Les autres comme Osborne en JNFL ou même Baptiste sont des joueurs qui, s'il avait réussi pour le 1er ou avait été plus régulier pour le 2nd, auraient donc pu tout à fait convenir pour le maintien. Jusque-là, ça se tenait. Risqué, c'est vrai, mais cela pouvait s'entendre et se défendre. Excepté pour Bouzidi.
Terry parti, on est resté longtemps avec le binôme Beaufort-Amsellem (Bouzidi ne jouant toujours pas, car choix du coach et non de Palmer), car le CSP restait bien placé pour le maintien en gagnant quasiment 1 match sur 2 jusqu'à fin novembre. Pendant cette période, clairement, Palmer a temporisé, alors que d'autres diront tergiversé, pour finalement recruter Boum.
Sauf qu'en décembre, le CSP n'a subi que des défaites (on n'a rencontré les 1ers de BE rappelons-le). Boum n'apportant rien. Le CSP recule dangereusement au classement. Et la bascule s'opère en Janvier avec Le Portel. Bascule puisque coach Dupraz est coupé. Osborne aussi est éjecté.
Et c'est vraiment ensuite que la cacophonie Palmer/Bonnafy se fait entendre. Le second dit ouvrir une rallonge de MS pour recruter 2 joueurs d'impact, et au final, plusieurs semaines après, Christmas arrive, quasiment en vain pour redresser la barre. Il était alors trop tard pour faire d'autres ajustements car hors période.
Pourquoi tout ce rappel ? Parce qu'en le reprenant, cela permet de remettre en perspective comment Palmer fonctionne et comment cela s'articule dans les faits. J'en conclu que Palmer est quelqu'un qui donne le temps aux choses de se faire. Terry aurait eu tout le temps nécessaire pour réussi, mais lui "a fui" avant cela. Palmer à laissé les temps au duo Beaufort-Amsellem de réussir, pas si mal d'ailleurs en octobre-novembre. Du coup, il a pris le temps pour recruter Boum qui pour moi est plus un raté que ne l'a été Terry qui était un pari. Surtout vu le BO payé (70k€). Quand Osborne est coupé, cela se fait en même temps que le coach. On ne saura jamais si Osborne aurait pu réussir avec Larkas, qui a bien relancé Guissé mais pas Boum,. Mais on a vu que Osborne a fait une bonne fin de saison en Allemagne. Le départ de Bouzidi, c'est plus un demande du joueur/agent qu'une volonté du DS si 'ai bien compris.
Palmer fait confiance à ses joueurs et ses coachs jusque assez tard avant de trancher. On l'a vu. Mais il finit par prendre les décisions convenables dans l'intérêt du club, comme avec Julbe il y a quelques années. On pourrait penser qu'il donne du temps pour que ça marche, pour ne pas avoir à reconnaître qu'il s'est trompé quand c'est le cas. Cette façon de temporiser tend à le laisser penser, et de l'autre côté de la balance, pour l'équilibre, c'est qu'il prend du temps pour choisir ses joueurs puisqu'il va essayer de tout faire pour qu'ils réussissent. Cela n'exclut pas de se tromper comme pour Boum.
Pour moi, c'est le côté humain de Palmer avec les effets positifs et négatifs qu'il faut accepter, notamment le fait qu'il prend le temps pour choisir, qu'il donne du temps ensuite pour réussir, mais au final, il prend ses décisions.
On pourrait préférer le management de Anstett plus que celui de Palmer. Leur histoire professionnelle, leur âge est différent. Forcément, leur façon de faire l'est aussi.
Moi, j'aime bien les 2. Anstett serait revenu quand Peluhet a pris la barre que cela ne m'aurait pas dérangé tout comme j'étais plutôt satisfait que ce soit Palmer in fine.
Autant Bourgain pensait autant à lui sinon plus qu'au club quand il faisait des choix, autant les 2 autres DS (Anstett/Palmer) m'ont réellement semblé au service du club, chacun dans son style.
Dans la pratique de Palmer la saison passée, il faut dissocier 2 périodes de recrutement. Avant et après la cuisante défaite contre Le Portel à Beaublanc. Et considérer aussi les choix initiaux de l'été 2024.
Pour l'été 2024, Palmer a fait plusieurs paris, en essayant d'en couvrir un par un autre, pour cause de MS faible. Exemple d'Amsellem derrière Terry en plus de Beaufort, plus Bouzidi. Les autres comme Osborne en JNFL ou même Baptiste sont des joueurs qui, s'il avait réussi pour le 1er ou avait été plus régulier pour le 2nd, auraient donc pu tout à fait convenir pour le maintien. Jusque-là, ça se tenait. Risqué, c'est vrai, mais cela pouvait s'entendre et se défendre. Excepté pour Bouzidi.
Terry parti, on est resté longtemps avec le binôme Beaufort-Amsellem (Bouzidi ne jouant toujours pas, car choix du coach et non de Palmer), car le CSP restait bien placé pour le maintien en gagnant quasiment 1 match sur 2 jusqu'à fin novembre. Pendant cette période, clairement, Palmer a temporisé, alors que d'autres diront tergiversé, pour finalement recruter Boum.
Sauf qu'en décembre, le CSP n'a subi que des défaites (on n'a rencontré les 1ers de BE rappelons-le). Boum n'apportant rien. Le CSP recule dangereusement au classement. Et la bascule s'opère en Janvier avec Le Portel. Bascule puisque coach Dupraz est coupé. Osborne aussi est éjecté.
Et c'est vraiment ensuite que la cacophonie Palmer/Bonnafy se fait entendre. Le second dit ouvrir une rallonge de MS pour recruter 2 joueurs d'impact, et au final, plusieurs semaines après, Christmas arrive, quasiment en vain pour redresser la barre. Il était alors trop tard pour faire d'autres ajustements car hors période.
Pourquoi tout ce rappel ? Parce qu'en le reprenant, cela permet de remettre en perspective comment Palmer fonctionne et comment cela s'articule dans les faits. J'en conclu que Palmer est quelqu'un qui donne le temps aux choses de se faire. Terry aurait eu tout le temps nécessaire pour réussi, mais lui "a fui" avant cela. Palmer à laissé les temps au duo Beaufort-Amsellem de réussir, pas si mal d'ailleurs en octobre-novembre. Du coup, il a pris le temps pour recruter Boum qui pour moi est plus un raté que ne l'a été Terry qui était un pari. Surtout vu le BO payé (70k€). Quand Osborne est coupé, cela se fait en même temps que le coach. On ne saura jamais si Osborne aurait pu réussir avec Larkas, qui a bien relancé Guissé mais pas Boum,. Mais on a vu que Osborne a fait une bonne fin de saison en Allemagne. Le départ de Bouzidi, c'est plus un demande du joueur/agent qu'une volonté du DS si 'ai bien compris.
Palmer fait confiance à ses joueurs et ses coachs jusque assez tard avant de trancher. On l'a vu. Mais il finit par prendre les décisions convenables dans l'intérêt du club, comme avec Julbe il y a quelques années. On pourrait penser qu'il donne du temps pour que ça marche, pour ne pas avoir à reconnaître qu'il s'est trompé quand c'est le cas. Cette façon de temporiser tend à le laisser penser, et de l'autre côté de la balance, pour l'équilibre, c'est qu'il prend du temps pour choisir ses joueurs puisqu'il va essayer de tout faire pour qu'ils réussissent. Cela n'exclut pas de se tromper comme pour Boum.
Pour moi, c'est le côté humain de Palmer avec les effets positifs et négatifs qu'il faut accepter, notamment le fait qu'il prend le temps pour choisir, qu'il donne du temps ensuite pour réussir, mais au final, il prend ses décisions.
On pourrait préférer le management de Anstett plus que celui de Palmer. Leur histoire professionnelle, leur âge est différent. Forcément, leur façon de faire l'est aussi.
Moi, j'aime bien les 2. Anstett serait revenu quand Peluhet a pris la barre que cela ne m'aurait pas dérangé tout comme j'étais plutôt satisfait que ce soit Palmer in fine.
Autant Bourgain pensait autant à lui sinon plus qu'au club quand il faisait des choix, autant les 2 autres DS (Anstett/Palmer) m'ont réellement semblé au service du club, chacun dans son style.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.