Il est probable que le coach soit un peu soft, mais est-ce vraiment le plus gros problème ?
On peut toujours croire que s’il se mettait à courir, crier et vociférer au bord du terrain comme le font certains de ses collègues, cela nous ferait gagner des matchs, mais je n’en suis pas si sûr.
Actuellement, pour moi, le plus gros problème, plus que la mène, c’est le rebond, des deux côtés du terrain, et c’est aux joueurs de faire l’effort de s’y coller. Car enfin, les joueurs ne sont plus des enfants, et le fait que le coach leur parle calmement ou en criant ne devrait pas vraiment changer les choses pour des joueurs professionnels.
Bien sûr, certains me diront qu’il y a une énergie à faire passer, et que l’attitude du coach pourrait induire celle des joueurs, mais ça a ses limites, et ce n’est sans doute pas ce qui fait gagner les équipes sur la durée. D’ailleurs, ce n’était sans doute pas simplement cette attitude qui a fait que les meilleurs coachs passés par Limoges y ont gagné.
On peut toujours croire que s’il se mettait à courir, crier et vociférer au bord du terrain comme le font certains de ses collègues, cela nous ferait gagner des matchs, mais je n’en suis pas si sûr.
Actuellement, pour moi, le plus gros problème, plus que la mène, c’est le rebond, des deux côtés du terrain, et c’est aux joueurs de faire l’effort de s’y coller. Car enfin, les joueurs ne sont plus des enfants, et le fait que le coach leur parle calmement ou en criant ne devrait pas vraiment changer les choses pour des joueurs professionnels.
Bien sûr, certains me diront qu’il y a une énergie à faire passer, et que l’attitude du coach pourrait induire celle des joueurs, mais ça a ses limites, et ce n’est sans doute pas ce qui fait gagner les équipes sur la durée. D’ailleurs, ce n’était sans doute pas simplement cette attitude qui a fait que les meilleurs coachs passés par Limoges y ont gagné.