30-05-2019, 14:38:47
Mais l'idée (dans la finesse, hein !), serait de lui proposer autre chose comme activité, autre chose qui n'impacterait l'équipe pro et serait "juridiquement acceptable" sur la base de ses compétences de coach. L'objectif étant qu'il refuse et donc mette son contrat béton en jeu. La base de négociation s'en trouverait changée.
J'écris çà , c'est juste pour spéculer. Mais, comme vous, plus vite le CSP passe à autre chose, mieux c'est.
Restera le cas de Verieras à traiter, car son mandat social de président du directoire interrompu, il a dû revenir à celui de (salarié) directeur qu'il occupait antérieurement. Et là aussi que faire de lui ? J'imagine que le CSP dit être en train de regarder si ses dernières décisions ne sont pas attaquables, soit comme mandataire, soit comme salarié. Du pain à rogner pour les juristes ; ça tombe bien, il y en a un à plein temps au CSP désormais.
J'écris çà , c'est juste pour spéculer. Mais, comme vous, plus vite le CSP passe à autre chose, mieux c'est.
Restera le cas de Verieras à traiter, car son mandat social de président du directoire interrompu, il a dû revenir à celui de (salarié) directeur qu'il occupait antérieurement. Et là aussi que faire de lui ? J'imagine que le CSP dit être en train de regarder si ses dernières décisions ne sont pas attaquables, soit comme mandataire, soit comme salarié. Du pain à rogner pour les juristes ; ça tombe bien, il y en a un à plein temps au CSP désormais.