09-10-2018, 14:48:31
Je suis d'accord.
Quand on accepte ce genre de responsabilités, on sait qu'on va être sous les feux de l'actu....
Ce sont des postes "publics" et visibles.... et donc, forcément nos décisions, connues de tous, sont sujettes à discussions, critiques, etc...
Toutes proportions gardées, désolé de faire du "my life"
, mais c'est un peu une problématique que nous avons en tant qu'enseignants : on a tous poursuivi cette utopie de vouloir plaire à tout le monde, de faire l'unanimité, tant chez nos élèves que chez leurs parents.
Et tous (je le pense) en début de carrière, on s'est miné le moral parce qu'on recevait un mot incendiaire ou qu'on prenait une réflexion.... Avec le temps, on apprend à vivre avec, à prendre un peu de hauteur et à se dire que les 25 autres de la classe nous soutiennent et apprécient notre taf et qu'il ne faut pas s'arrêter à un ou deux.
Je souhaite à ces jeunes dirigeants de faire de même et de parvenir à tourner 7 fois leurs doigts sur le clavier (quelle merde ce twitter quand même !) avant de se lancer dans des déclarations écrites sous le coup de la colère (que je comprends) et ne visant finalement qu'une infime partie de l'auditoire auquel ils s'adressent en définitive.
Car le piège est là : je ne juge pas ceux qui sont à l'origine de leur courroux, mais au lieu de régler cette (ces) affaire(s) entre quelques paires d'yeux et d'oreilles, ils s'affichent à la vue de tous et finissent, alors que ce n'est pas leur idée d'origine, par sembler s'adresser à tous.
Après, ça sert à rien de comparer avec l'époque Popelier Marcus
Autre époque
Pas de réseaux sociaux, pas d'internet, etc... Mais quand je me rappelle le caractère bouillant du bonhomme, je ne serai pas forcément aussi catégorique que toi
Quand on accepte ce genre de responsabilités, on sait qu'on va être sous les feux de l'actu....
Ce sont des postes "publics" et visibles.... et donc, forcément nos décisions, connues de tous, sont sujettes à discussions, critiques, etc...
Toutes proportions gardées, désolé de faire du "my life"
, mais c'est un peu une problématique que nous avons en tant qu'enseignants : on a tous poursuivi cette utopie de vouloir plaire à tout le monde, de faire l'unanimité, tant chez nos élèves que chez leurs parents.Et tous (je le pense) en début de carrière, on s'est miné le moral parce qu'on recevait un mot incendiaire ou qu'on prenait une réflexion.... Avec le temps, on apprend à vivre avec, à prendre un peu de hauteur et à se dire que les 25 autres de la classe nous soutiennent et apprécient notre taf et qu'il ne faut pas s'arrêter à un ou deux.
Je souhaite à ces jeunes dirigeants de faire de même et de parvenir à tourner 7 fois leurs doigts sur le clavier (quelle merde ce twitter quand même !) avant de se lancer dans des déclarations écrites sous le coup de la colère (que je comprends) et ne visant finalement qu'une infime partie de l'auditoire auquel ils s'adressent en définitive.
Car le piège est là : je ne juge pas ceux qui sont à l'origine de leur courroux, mais au lieu de régler cette (ces) affaire(s) entre quelques paires d'yeux et d'oreilles, ils s'affichent à la vue de tous et finissent, alors que ce n'est pas leur idée d'origine, par sembler s'adresser à tous.
Après, ça sert à rien de comparer avec l'époque Popelier Marcus
Autre époque
Pas de réseaux sociaux, pas d'internet, etc... Mais quand je me rappelle le caractère bouillant du bonhomme, je ne serai pas forcément aussi catégorique que toi