Pour en revenir au match, il y avait beaucoup trop d'écart en une équipe de moyen-bas de tableau de BE qui s'appuie sur 6-7 joueurs et une autre qui joue à 12 joueurs et dont le plus "faible" 5 vaut au moins le meilleur 5 du CSP.
Plus de 100 points encaissés, plus de 25 points d'écart, cela peut paraitre lourd, mais c'est ce que fait Paris sur la plupart de ses adversaires en BE quand ils sont au taquet. Là, ils préparaient leur match d'EC de la semaine prochaine. Le CSP a servi de (vaillant) sparring-partner. Donc, rien de bien surprenant.
Côté CSP, on retrouve cruellement mises au jour, et face à une telle adversité, toutes les difficultés constatées depuis le début de la saison : peu de variété de jeu, jeu intérieur modeste, beaucoup de balles perdues, grosses difficultés récurrentes au rebonds déf/off, 3 joueurs trop faibles ( McGusty, Nenadic, et Ugolin), adresse à 3 pts déficiente si Lang est défendu. Tout repose sur Nikolic et Lang, un peu sur Chassang et Appleby pour alimenter la marque. La cohérence du jeu offensive est souvent donnée par Beaufort, joueur de 20 ans, bon défenseur de surcroît. Équipe vaillante, honorable, mais on est à notre place dans la 2e moitié du classement.
Donc face au top 4-6 du championnat, il n'y a pas grand chose à espérer.
Un mot sur le coaching toujours aussi peu convainquant en terme de tonicité pour impulser ou dynamiser l’équipe quand elle est dans le dur. A la décharge de Dupraz, il faut dire que ce n'est pas facile avec 6-7 joueurs de bon niveau et 3 autres trop irréguliers. Udanoh a fait défaut aussi.
Dernier point, un arbitrage très médiocre, qui ne change évidemment pas le résultat final, mais où les 2+1 sont surtout sifflés d'un côté et peu de l'autre, accentuant pour rien une différence de niveau déjà bien réelle sans ça. Et dans ce trio, Chambon est toujours aussi mauvais.
Plus de 100 points encaissés, plus de 25 points d'écart, cela peut paraitre lourd, mais c'est ce que fait Paris sur la plupart de ses adversaires en BE quand ils sont au taquet. Là, ils préparaient leur match d'EC de la semaine prochaine. Le CSP a servi de (vaillant) sparring-partner. Donc, rien de bien surprenant.
Côté CSP, on retrouve cruellement mises au jour, et face à une telle adversité, toutes les difficultés constatées depuis le début de la saison : peu de variété de jeu, jeu intérieur modeste, beaucoup de balles perdues, grosses difficultés récurrentes au rebonds déf/off, 3 joueurs trop faibles ( McGusty, Nenadic, et Ugolin), adresse à 3 pts déficiente si Lang est défendu. Tout repose sur Nikolic et Lang, un peu sur Chassang et Appleby pour alimenter la marque. La cohérence du jeu offensive est souvent donnée par Beaufort, joueur de 20 ans, bon défenseur de surcroît. Équipe vaillante, honorable, mais on est à notre place dans la 2e moitié du classement.
Donc face au top 4-6 du championnat, il n'y a pas grand chose à espérer.
Un mot sur le coaching toujours aussi peu convainquant en terme de tonicité pour impulser ou dynamiser l’équipe quand elle est dans le dur. A la décharge de Dupraz, il faut dire que ce n'est pas facile avec 6-7 joueurs de bon niveau et 3 autres trop irréguliers. Udanoh a fait défaut aussi.
Dernier point, un arbitrage très médiocre, qui ne change évidemment pas le résultat final, mais où les 2+1 sont surtout sifflés d'un côté et peu de l'autre, accentuant pour rien une différence de niveau déjà bien réelle sans ça. Et dans ce trio, Chambon est toujours aussi mauvais.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.