Pour savoir éventuellement où va le CSP, il n'est pas inutile de regarder d'où il vient et ce à quoi il doit faire face.
Assez curieusement, après le très mauvais départ, et le très mauvais match à Pau, Cancellieri avait trouvé une autre façon de faire jouer l'équipe.
Et peu après le retour (positif) de Jones, Govens avait été écarté. Les "valeurs" qui prévalent dans son coaching s'étaient bien installées à l'instar de l'an passé.
S'ensuivit une (très) bonne période où le CSP était remonté dans le top8 de BE et repris les rênes de son destin en BCL.
Des choses sont possibles donc.
Seulement voilà, la ré-intégration de Jones se faisait après 4 ou 5 semaines de préparation interrompues par sa blessure, il connaissait le groupe. A son retour dans le groupe, grâce à son apport, la victoire volant au secours de la victoire, tout le monde s'y collait en s'effaçant pour l'essentiel derrière le jeu collectif d'alors. Le groupe emmagasinait de la confiance et gagnait.
La mécanique se dérègle vers la mi-décembre à partir du match à Gravelines perdu 62-50, puis match reporté de Roanne pour l'épisode grippe/covid et match gagné face au Portel sur un coup de bol grâce à Hawkins au buzzer. Tout cela était révélateur de ce qui était en train de se dessiner.
Ensuite, c'est le début des travaux forcés, mais en plus avec des absences occasionnelles de Graves, ou Jones déjà, puis Rodriguez. Tout cela dans un rythme de dingo pour cet effectif. Et des matchs à fort enjeux comme la BCL (Ludwigsburg).
La bascule du mauvais côté semble s'amplifier avec la défaite à Beaublanc face à Nanterre (mi-janvier), mais d'une certaine manière, un peu masquée par l'exploit en Allemagne 4 jours après. Oui, comme dit par ailleurs ... grandes victoires ... cimetière ... Cela peut y ressembler.
Et depuis, rien ne va bien, tant par le nombre de défaites que par leur ampleur comme hier soir.
Un peu comme si la mécanique s'était déréglée, ou pire, comme si le ressort était cassé.
Et voilà devant nous 4 matchs en 10 jours jusqu'au 17 février, dont 3 loin de Beaublanc ; et pas que du menu fretin, puisque c'est @AEK Athènes, @Nanterre, Bourg, Dijon. Sur ce que nous avoyons actuellement, que pouvons nous espérer de notre équipe ? Pas grand chose, un exploit par ci par là. Comme gagner en CdF face à Bourg à Beaublanc.
A court terme, le CSP a encore 4 lièvres à courir d'ici le 17 février :
- si par un exploit le CSP gagne à Athènes, il garde ses chances en BCL pour mars. Mais sera-ce une chance ?
- si défaite face à Bourg à Beaublanc, adieu la Coupe de France !
- si défaite au 1er tour de Leaders Cup face à Dijon, la trêve est allongée de 2 jours, sauf pour Lang qui part en EDF
- Si défaite à Nanterre, c'est le wagon des PO qui s'éloigne un peu plus
Que faire ?
Comment faire ?
Peut-il le faire ?
Le CSP doit-il choisir ?
Ce qui "semble" le plus facile de "lâcher", c'est la LsC et la Cdf. Et d'ailleurs, nos adversaires n'attendrons peut être pas que nous lâchions pour garder la main.
Lâcher la BCL ? C'est peut-être pas la meilleure idée que de donner une mauvaise image du club sans garantie aucune d'être invité la saison prochaine si le CSP rate les PO.
Tout jouer à fond ? Pourquoi pas ... Même si le réservoir est loin d'être plein, comme dirait Souchon :
On avance, on avance, on avance
C'est une évidence
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens
On avance
On avance, on avance, on avance
Tu vois pas tout ce qu'on dépense On avance
Faut pas qu'on réfléchisse ni qu'on pense
Il faut qu'on avance
Assez curieusement, après le très mauvais départ, et le très mauvais match à Pau, Cancellieri avait trouvé une autre façon de faire jouer l'équipe.
Et peu après le retour (positif) de Jones, Govens avait été écarté. Les "valeurs" qui prévalent dans son coaching s'étaient bien installées à l'instar de l'an passé.
S'ensuivit une (très) bonne période où le CSP était remonté dans le top8 de BE et repris les rênes de son destin en BCL.
Des choses sont possibles donc.
Seulement voilà, la ré-intégration de Jones se faisait après 4 ou 5 semaines de préparation interrompues par sa blessure, il connaissait le groupe. A son retour dans le groupe, grâce à son apport, la victoire volant au secours de la victoire, tout le monde s'y collait en s'effaçant pour l'essentiel derrière le jeu collectif d'alors. Le groupe emmagasinait de la confiance et gagnait.
La mécanique se dérègle vers la mi-décembre à partir du match à Gravelines perdu 62-50, puis match reporté de Roanne pour l'épisode grippe/covid et match gagné face au Portel sur un coup de bol grâce à Hawkins au buzzer. Tout cela était révélateur de ce qui était en train de se dessiner.
Ensuite, c'est le début des travaux forcés, mais en plus avec des absences occasionnelles de Graves, ou Jones déjà, puis Rodriguez. Tout cela dans un rythme de dingo pour cet effectif. Et des matchs à fort enjeux comme la BCL (Ludwigsburg).
La bascule du mauvais côté semble s'amplifier avec la défaite à Beaublanc face à Nanterre (mi-janvier), mais d'une certaine manière, un peu masquée par l'exploit en Allemagne 4 jours après. Oui, comme dit par ailleurs ... grandes victoires ... cimetière ... Cela peut y ressembler.
Et depuis, rien ne va bien, tant par le nombre de défaites que par leur ampleur comme hier soir.
Un peu comme si la mécanique s'était déréglée, ou pire, comme si le ressort était cassé.
Et voilà devant nous 4 matchs en 10 jours jusqu'au 17 février, dont 3 loin de Beaublanc ; et pas que du menu fretin, puisque c'est @AEK Athènes, @Nanterre, Bourg, Dijon. Sur ce que nous avoyons actuellement, que pouvons nous espérer de notre équipe ? Pas grand chose, un exploit par ci par là. Comme gagner en CdF face à Bourg à Beaublanc.
A court terme, le CSP a encore 4 lièvres à courir d'ici le 17 février :
- si par un exploit le CSP gagne à Athènes, il garde ses chances en BCL pour mars. Mais sera-ce une chance ?
- si défaite face à Bourg à Beaublanc, adieu la Coupe de France !
- si défaite au 1er tour de Leaders Cup face à Dijon, la trêve est allongée de 2 jours, sauf pour Lang qui part en EDF
- Si défaite à Nanterre, c'est le wagon des PO qui s'éloigne un peu plus
Que faire ?
Comment faire ?
Peut-il le faire ?
Le CSP doit-il choisir ?
Ce qui "semble" le plus facile de "lâcher", c'est la LsC et la Cdf. Et d'ailleurs, nos adversaires n'attendrons peut être pas que nous lâchions pour garder la main.
Lâcher la BCL ? C'est peut-être pas la meilleure idée que de donner une mauvaise image du club sans garantie aucune d'être invité la saison prochaine si le CSP rate les PO.
Tout jouer à fond ? Pourquoi pas ... Même si le réservoir est loin d'être plein, comme dirait Souchon :
On avance, on avance, on avance
C'est une évidence
On a pas assez d'essence
Pour faire la route dans l'autre sens
On avance
On avance, on avance, on avance
Tu vois pas tout ce qu'on dépense On avance
Faut pas qu'on réfléchisse ni qu'on pense
Il faut qu'on avance