Si l'équipe a joué autant à trois points, c'est qu'elle s'est trouvée avec 2 joueurs en réussite : Lang et Scrubb, auxquels il faut ajouter Ginyard et Invernizzi qui ont essentiellement fait ça aussi.
Par ailleurs, elle s'est trouvé "prisonnière" de la recherche forcenée de collectif et de l'extra passe. On combine l'extra passe "à tout prix" et le tir à 3 points et on se retrouve avec Invernizzi qui ne shoote qu'à 3 pts et .. qui finit par refuser des shoots pour passer vers Lang ou Scrubb plus en réussite, voire Smith et Ginyard. A vouloir jouer autant le "collectif", cela finit par permettre à 3 joueurs de se mettre en retrait (pour ne pas dire "se cacher") derrière 3 autres.
C'est vrai qu'on a vu de belles séquences ou la balle circulait bien et un un joli tir à 3 pts dans un fauteuil pour, mais combien d'échecs aussi ? Et tout cela au détriment d'un jeu en pénétration très faible. Du hand par moment...
Du pick and roll pour Boutsiele, ou du pick and pop, et du jeu poste bas pour Boutsiele.
Et voilà 95% du jeu du CSP : tir à 3 pts et Boutsiele.
Mais surtout, cette propension à refuser les shoots, avec Invernizzi en tête d'affiche, Smith et Ginyard en 2nd rôles. Conséquence : aucun impact sur nos poste 1, 3 et 4. Difficile de réussir dans de telles conditions.
On peut aussi se dire que 9 équipes ont plus mal joué que le CSP, mais comment ne pas se dire qu'on aurait aussi pu faire 1 à 3 places de mieux.
Par ailleurs, elle s'est trouvé "prisonnière" de la recherche forcenée de collectif et de l'extra passe. On combine l'extra passe "à tout prix" et le tir à 3 points et on se retrouve avec Invernizzi qui ne shoote qu'à 3 pts et .. qui finit par refuser des shoots pour passer vers Lang ou Scrubb plus en réussite, voire Smith et Ginyard. A vouloir jouer autant le "collectif", cela finit par permettre à 3 joueurs de se mettre en retrait (pour ne pas dire "se cacher") derrière 3 autres.
C'est vrai qu'on a vu de belles séquences ou la balle circulait bien et un un joli tir à 3 pts dans un fauteuil pour, mais combien d'échecs aussi ? Et tout cela au détriment d'un jeu en pénétration très faible. Du hand par moment...
Du pick and roll pour Boutsiele, ou du pick and pop, et du jeu poste bas pour Boutsiele.
Et voilà 95% du jeu du CSP : tir à 3 pts et Boutsiele.
Mais surtout, cette propension à refuser les shoots, avec Invernizzi en tête d'affiche, Smith et Ginyard en 2nd rôles. Conséquence : aucun impact sur nos poste 1, 3 et 4. Difficile de réussir dans de telles conditions.
On peut aussi se dire que 9 équipes ont plus mal joué que le CSP, mais comment ne pas se dire qu'on aurait aussi pu faire 1 à 3 places de mieux.