Cette compétition dure 2 mois. Dans l'état actuel, faut-il "cramer" les valides pour faire honneur au maillot alors que notre équipe n'a AUCUNE chance de quoique ce soit ?
A mon sens, non. Le temps de récupérer les blessés, ou de les remplacer si nécessaire, de recruter le/les manquant(s), de les intégrer à peu près si tant est que leur forme physique le permette, etc... et on sera en décembre.
Entre temps, l'équipe aura surement reçu claques, gifles, beignes, fessées, et autres gestes bien placées sur ses faiblesses par les mastodontes de l'EL.
Faire bonne figure, oui, mais en faisant quoi ? En jouant à 120% sur 25-30 minutes pour être à -9 à la fin du QT3, pour s'effondrer ensuite sur le dernier QT et prendre un 29-7 par manque de rotations, de cohésion, de condition, de lucidité, de talent ?
Euh..., quel intérêt ? Autant faire un choix, ou plutôt accepter le fait que nous ne serons pas armés pour lutter sur la durée dans ces matchs-là .
Alors, autant voir ces rencontres comme des champs d'expérience. Fixer des objectifs de jeu simple, tels que , sur un QT on travaille la défense sans trop se soucier de l'attaque et sur un autre QT, on travaille l'attaque ; mais aussi intégrer les jeunes de demain (Diallo, Wojciechowki) en leur donnant non pas des miettes, mais un (petit) morceau de pain. Sans les culpabiliser de quoique ce soit. Si on veut nos Zerbo et NBC de demain, il faut semer (c'est fait) mais ensuite prendre soin de ces jeunes pousses en leur apportant l'engrais sportif dont elles ont besoin (du temps de jeu significatif à haut niveau). Jouer dans un vrai match 4 minutes contre Spanoulis a plus de chance de te donner envie de bosser pour progresser vers son niveau que 30 secondes dans une fin de match de proA à +20 où tes coéquipiers vont tout faire pour que tu marques un panier. Mais l'un n'exclut pas l'autre pour autant.
Que l'on perde de 25 points ou 45, ça change quoi ? Une petite" rouste ou "grosse" rouste ? Rien à mon sens, mais je préfère savoir, en tant que supporter, que ces matchs sont destinés à la formation et au travail pour 2016 que de croire ne serait-ce qu'une seconde que le CSP peut accéder au top16.
ça ne veut pas dire galvauder et "lâcher" les matchs ; ça veut dire les rendre utiles. Et si on peut en prendre un, on ne se prive pas.
L'honneur du maillot, pour moi, c'est que le temps passé à le porter soit utile à un moment ou un autre au club. Et tant qu'à faire, quand ça va "compter". C'est à dire à partir de janvier. Quand les "vraies" compétitions vont se jouer. L'EL, ce n'est pas la nôtre, malheureusement. Nos "vraies" compétitions, ce seront l'Eurocup, la CDF, et bien sûr le championnat lors des play off.
La coupe à Mickey, pour moi, c'est du folklore qui permet à l'équipe de se jauger sur des matchs couperet. Même si c'est une vraie compétition, elle a plus de valeur sentimentale que sportive. Et plus d'intérêt que le pseudo titre du match des champions.
A mon sens, non. Le temps de récupérer les blessés, ou de les remplacer si nécessaire, de recruter le/les manquant(s), de les intégrer à peu près si tant est que leur forme physique le permette, etc... et on sera en décembre.
Entre temps, l'équipe aura surement reçu claques, gifles, beignes, fessées, et autres gestes bien placées sur ses faiblesses par les mastodontes de l'EL.
Faire bonne figure, oui, mais en faisant quoi ? En jouant à 120% sur 25-30 minutes pour être à -9 à la fin du QT3, pour s'effondrer ensuite sur le dernier QT et prendre un 29-7 par manque de rotations, de cohésion, de condition, de lucidité, de talent ?
Euh..., quel intérêt ? Autant faire un choix, ou plutôt accepter le fait que nous ne serons pas armés pour lutter sur la durée dans ces matchs-là .
Alors, autant voir ces rencontres comme des champs d'expérience. Fixer des objectifs de jeu simple, tels que , sur un QT on travaille la défense sans trop se soucier de l'attaque et sur un autre QT, on travaille l'attaque ; mais aussi intégrer les jeunes de demain (Diallo, Wojciechowki) en leur donnant non pas des miettes, mais un (petit) morceau de pain. Sans les culpabiliser de quoique ce soit. Si on veut nos Zerbo et NBC de demain, il faut semer (c'est fait) mais ensuite prendre soin de ces jeunes pousses en leur apportant l'engrais sportif dont elles ont besoin (du temps de jeu significatif à haut niveau). Jouer dans un vrai match 4 minutes contre Spanoulis a plus de chance de te donner envie de bosser pour progresser vers son niveau que 30 secondes dans une fin de match de proA à +20 où tes coéquipiers vont tout faire pour que tu marques un panier. Mais l'un n'exclut pas l'autre pour autant.
Que l'on perde de 25 points ou 45, ça change quoi ? Une petite" rouste ou "grosse" rouste ? Rien à mon sens, mais je préfère savoir, en tant que supporter, que ces matchs sont destinés à la formation et au travail pour 2016 que de croire ne serait-ce qu'une seconde que le CSP peut accéder au top16.
ça ne veut pas dire galvauder et "lâcher" les matchs ; ça veut dire les rendre utiles. Et si on peut en prendre un, on ne se prive pas.
L'honneur du maillot, pour moi, c'est que le temps passé à le porter soit utile à un moment ou un autre au club. Et tant qu'à faire, quand ça va "compter". C'est à dire à partir de janvier. Quand les "vraies" compétitions vont se jouer. L'EL, ce n'est pas la nôtre, malheureusement. Nos "vraies" compétitions, ce seront l'Eurocup, la CDF, et bien sûr le championnat lors des play off.
La coupe à Mickey, pour moi, c'est du folklore qui permet à l'équipe de se jauger sur des matchs couperet. Même si c'est une vraie compétition, elle a plus de valeur sentimentale que sportive. Et plus d'intérêt que le pseudo titre du match des champions.