12-12-2019, 17:23:46
(Modification du message : 12-12-2019, 17:25:15 par sylvain972.)
Bada a écrit :sylvain972 a écrit :"Notre projet est axé sur la formation, martèle Pierre Fargeaud. Cela fait des années qu'on entend ce discours à Limoges mais on espère l'assumer. Nous voudrions tous avoir des résultats immédiats mais la construction va être plus longue que prévue. Notre priorité est d'arrêter avec cet atavisme de Limoges où on coupe et on achète. On va changer de paradigme. On ne peut pas surréagir à chaque fois qu'on nous dit que les résultats ne sont pas bons sur les réseaux sociaux. On ne peut pas oublier tous nos principes au bout de trois mois. On s'est fixé un cap et on veut le garder."après, la crédibilité doit-elle passer après ou avant le principe de survie ?
26 novembre 2019......
question crédibilité, on repassera par contre ....
Je veux bien qu'il se dédise dans l'histoire, mais bon j'ai pas non plus envie que les dirigeants meurent avec leurs idées et fassent mourir le club.
Ils ont aussi le droit de dire "on s'est trompé. On y a cru, mais ça marche pas alors on prend la(les) décision(s) qui s'imposent.
Moi après tout, la crédibilité d'untel ou d'untel, je m'en fous, ce qui m'importe c'est le club.
Chaque dirigeant, depuis la création du club, et dans n'importe quelle équipe de n'importe quel sport, a plus ou moins dit tout et son contraire en quelques semaines
Le plus rigolo et le plus fréquent étant le traditionnel "le coach a la confiance des dirigeants"
le souci, c'est quand on arrive avec son vocabulaire en expliquant que ce ne sont pas les réseaux sociaux qui vont diriger, c'est pour se mettre un peu au dessus de tout le monde et expliquer qu'on ne va pas faire comme tout le monde. Quand il emploie atavisme et paradigme, c est comme quand Verieras parle du rêve des comptoirs embrumés, c'est de la flambe.
Ben pour le moment, ils sont en train de mourir avec leurs idées, vu que ce sont les mêmes personnes ( Palmer et Bolotny ), qui se sont déjà trompées, qui décident de faire confiance à l'adjoint .
Prendre autant de risques alors qu'il y a trois descentes, ça peut vite sentir mauvais. pour rappel on ira au Portel, on ira à Chalon, à Orléans, bref chez les équipes avec lesquelles on va se battre pour le maintien. Et pour les deux premières, on a pas un énorme point average favorable, c'est peu de le dire.