16-01-2018, 01:18:02
Dans l'émission Buzzer de ce soir et dans l'hommage qui était rendu à F. Forte en présence d'Olivier Bourgain, la question de savoir qui pourrait être le futur président du CSP a forcément été posée.
J.L. Picot a redit que la gouvernance du club mise en place par FF préservait le club de mauvaises surprises.
Sardain, lui il a dit que par le biais de l'association amateur du club il était le dépositaire des droits sportifs et de l'image du CSP et laisse bien entendre que ce qui se fera se fera avec son accord.
Lombertie, toujours au micro de sfr, annonce qu'il a un nom pour présider le club. Quelqu'un qui ne vient pas du monde du basket mais qui connaît tous les sports. Pour F. Weiss, il s'agit très certainement de JP Karaquillo.
Olivier Bourgain ne sait pas encore s'il restera à Limoges. Il l'a dit et redit, il est venu pour FF et même s'il aime ce club et aurait envie de poursuivre le projet 3.0 initié par FF, il ne restera que si le nouveau président est en accord avec ce que voulait FF et montre qu'il a envie de continuer dans cette voie. Mais il a reconnu aussi que des "vautours" (ce sont ses propres mots) commençaient à rôder autour du CSP.
J.L. Picot a redit que la gouvernance du club mise en place par FF préservait le club de mauvaises surprises.
Sardain, lui il a dit que par le biais de l'association amateur du club il était le dépositaire des droits sportifs et de l'image du CSP et laisse bien entendre que ce qui se fera se fera avec son accord.
Lombertie, toujours au micro de sfr, annonce qu'il a un nom pour présider le club. Quelqu'un qui ne vient pas du monde du basket mais qui connaît tous les sports. Pour F. Weiss, il s'agit très certainement de JP Karaquillo.
Olivier Bourgain ne sait pas encore s'il restera à Limoges. Il l'a dit et redit, il est venu pour FF et même s'il aime ce club et aurait envie de poursuivre le projet 3.0 initié par FF, il ne restera que si le nouveau président est en accord avec ce que voulait FF et montre qu'il a envie de continuer dans cette voie. Mais il a reconnu aussi que des "vautours" (ce sont ses propres mots) commençaient à rôder autour du CSP.