08-05-2017, 09:10:20
S'il advenait que l'ASVEL et le CSP ne soient pas en PO, ce serait quand même le signe que le management d'un club est au moins aussi important que son budget. A l'ASVEL on ne peut dire pas que ça brille par l'application de méthode et de constance, tout comme le CSP, mais le bruit médiatique présidentiel en moins. Et pourtant, les budgets sont conséquents.
On peut d'ailleurs s'interroger s'il n'y a pas beaucoup de similitudes entre le titre de 2015 du CSP et celui de 2016 de l'ASVEL. De l'opportunisme.
Hier, je soulignais, à propos du type de jeu de Nanterre supposément limité aux tirs à 3 points, que finalement la constance managériale est un ressort puissant pour créer des dynamiques positives et amener des titres. A contrario, la SIG n'a eu que peu de titres malgré sa constance à très haut niveau. Mais les titres, ce sont les choses que l'ont voit le plus (et qui restent) sur un gâteau. Encore faut-il qu'il y ait un gâteau pour l'y déposer. Si le CSP et l'ASVEL sont éliminés des PO, ils n'auront donc pas de gâteau à présenter au concours final.
Cette cerise exalte la mémoire, aveugle le gourmand, mais peut empêcher à l'occasion de voir un gâteau pas toujours appétant, avec beaucoup dâarrières goûts, dont la consommation 34 matchs durant n'apporte pas que des régalades.
Alors, que faut-il choisir ? Cerise ou gâteau ? Et d'ailleurs, faut-il choisir ? En quoi ne serait-il pas possible que, avec méthode et intuition, chaque saison le meilleur gâteau soit constitué et que de temps en temps, il soit possible d'y déposer une cerise ?
On peut d'ailleurs s'interroger s'il n'y a pas beaucoup de similitudes entre le titre de 2015 du CSP et celui de 2016 de l'ASVEL. De l'opportunisme.
Hier, je soulignais, à propos du type de jeu de Nanterre supposément limité aux tirs à 3 points, que finalement la constance managériale est un ressort puissant pour créer des dynamiques positives et amener des titres. A contrario, la SIG n'a eu que peu de titres malgré sa constance à très haut niveau. Mais les titres, ce sont les choses que l'ont voit le plus (et qui restent) sur un gâteau. Encore faut-il qu'il y ait un gâteau pour l'y déposer. Si le CSP et l'ASVEL sont éliminés des PO, ils n'auront donc pas de gâteau à présenter au concours final.
Cette cerise exalte la mémoire, aveugle le gourmand, mais peut empêcher à l'occasion de voir un gâteau pas toujours appétant, avec beaucoup dâarrières goûts, dont la consommation 34 matchs durant n'apporte pas que des régalades.
Alors, que faut-il choisir ? Cerise ou gâteau ? Et d'ailleurs, faut-il choisir ? En quoi ne serait-il pas possible que, avec méthode et intuition, chaque saison le meilleur gâteau soit constitué et que de temps en temps, il soit possible d'y déposer une cerise ?