20-01-2017, 00:51:26
fullflavor a écrit :Voilà ta réponse HV :
L'époque, c'est le consommateur qui demain sera le seul à faire vivre le sport pro. C'est celui qui veut plus qu'un match et une équipe. C'est celui qui choisit le SPECTACLE auquel il va convier sa famille et / ou ses amis. Et en matière de spectacle, la concurrence est rude.
C'est aussi et surtout celui qui ne veut que de LA victoire, et qui se moque de la qualité du jeu proposé ; celui qui veut de LA star, plutôt qu'une équipe.
L'ère des supporters comme toi et moi, ou comme la majorité de ceux qui interviennent encore sur ce forum est finie.
Place aux consommateurs : alors si FF va au bout de sa démarche, il devra transformer ce consommateur en consommacteur ; seul façon pour lui de fidéliser. Pourquoi pas un consommactionnaire.
Pour résumer : l'époque, c'est l'entreprise cSp qui doit arrêter de vendre du basket pour générer de nouveaux bénéfices et continuer à exister. La question qui demeure étant : est-ce que cela fait encore sens ? J'avoue ne pas avoir de réponse arrêter.
Merci de ta réponse, je vois mieux ce que tu veux dire.
Donc le CSP est mort si cela se produit. Moi, la notion "d'expérience" selon Strategic chepakoi, pas mon truc du tout.
Mais j'ai un doute que l'abaissement généralisé au seul rang de consommateur soit si immédiat qu'il faille urgemment casser ce(ux) qui a/ont fait la magie du CSP. Un club, c'est autre chose qu'une simple marque. Il y a beaucoup d'affect ne serait que parce que souvent, le club porte le nom de la ville où il se trouve : elle le représente. C'est une dimension différente d'un théâtre, spectacle vivant également.
Et puis enfin, si le club mettait BEAUCOUP plus d'argent sur les joueurs, il aurait bien plus de chance de remporter des succès qui sont quand même bien plus rémunérateurs qu'un snack-bar, ou un hôtel et autres conneries aux marges commerciales nettes qui ne changeront pas la dimension financière du CSP (mais surement de ceux qui les gèreront ; où comment se constituer un patrimoine sur le dos de la bête CSP).
Des succès sportifs apportent des sponsors et des primes de champions, du cash sans charge (tandis qu'un hôtels ou un bar...) 1500 places de plus dans Beaublanc sont bien plus rémunératrices aussi, mais moins faciles à capter sur le plan patrimonial car Beaublanc appartient à la ville.
Avec "Strategic conneries sans fin", que va-t-il rester de l'âme de club ?