08-01-2016, 19:07:55
Bada a écrit :Iadek a écrit :lefabe22 a écrit :Un historique des coachs passés par le club sous l'ère Forté avec le % de victoires de chacun d'entre euxUn brin surréaliste cette liste. Hugues Occansey c'est un peu notre Jeanne Calment à nous au niveau longévité... avec 1 an et 10 mois ! Ce côté mangeur de coach est aussi un paramètre constitutif du plafond de verre auquel notre club est confronté. Je maintiens que si on peut atteindre le haut niveau, on ne peut pas atteindre le très haut niveau ainsi.
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Une fois de plus dommage...
Une fois de plus espérons que le projet à venir tiendra plus d'une année...
oui, c'est clair que ça fait halluciner
Maintenant je me marre bien en lisant les commentaires un peu contrits de certains qui semblent regretter le départ de PH (sauf Sylvain qui est d'une remarquable constance, reconnaissons-lui cela !) et la versatilité de FF vis à vis des coachs....
Mais lorsque je lis quotidiennement les commentaires, et particulièrement les lendemains de défaite , nombreux sont quand même ceux qui réclament la tête du coach depuis un bail.
Comme beaucoup réclamaient celle de Girard avant son licenciement ou celle des autres également.....
Et maintenant, on vient "gueuler" que FF laisse pas bosser ses coachs ou ne leur donne pas la chance de travailler dans la continuité Puti mais les supporters, c'est pire !!!
C'est hélas le cas oui et ça n'aide pas à la sérénité. Et dans 6 mois, qui que ce soit soit, le nouveau coach (ou la nouvelle) subira le même sort des mêmes supporters très vraisemblablement, hélas aussi.
Je suis pas contre le fait qu'il y ait un peu de pression, il en faut. Quand y'en n'a pas du tout ça pose d'autres problèmes. Tout est une question de mesure. Mais je suis pour une longévité des projets, dans l'intérêt de la progression du club.
Si on veut parler de progression du club, on aura forcément, à un moment donné, une limite dans le talent individuel des joueurs, car on n'est pas les plus riches -sur la scène européenne-. Notre marge de progression doit alors être collective : si on veut progresser, c'est dans l'expression collective qu'on peut mieux faire, et c'est là qu'aide la longévité des projets voire des effectifs. La pression populaire est plus un atout qu'un handicap je pense, ça contribue à expliquer notre palmarès. Mais si ça doit déboucher sur un changement d'entraîneur tous les ans, on ne pourra viser plus haut. Pour une large part, les gens sont plus intolérants à la défaite qu'à l'entraîneur, mais à chaque fois c'est la tête de turc idéale et donc la cible du courroux. Je me fais guère d'illusion mais j'espère qu'il en sera différemment à l'avenir.