Je reviens sur ce match car il y a quand même à dire selon moi.
Je serais moins sévères que vous sur les joueurs car je ne vois pas leur intérêt de perdre s'il peuvent gagner, plus encore à Beaublanc.
Ils ne sont pas idiots et je ne crois pas que sortir sous les sifflets du public les fassent rigoler. On en fait pas ce "métier" pour perdre.
Surtout après avoir éprouvé les émotions du match contre les Met's par exemple, dans cette même salle
Et même les imaginer ne serait-ce qu'indifférents au sort du CSP me semble déjà beaucoup. Et en aucun cas généralisable.
Je ne sais pas ce qu'ils préparent la semaine avec le coach et ce qu'ils font réellement en match par rapport à ce qui a été demandé. Ce qui ne veut pas dire que ce qui a été demandé est bon pour autant.
Car en fin de compte, il se passe un "truc" que je n'arrive pas à expliquer.
On ne va pas dire que le CSP joue bien en 1ère mi-temps, en tout cas guère plus mal que la SIG.
20-24 au 1er quart et 14-18 au 2e. Donc -8 à la mi-temps. Pas glorieux, mais rien de vraiment mauvais avec 34-42.
Le 3e quart part bien, assez rapidement le CSP revient à 45-46, donc -1 en passant un 11-4 à la SIG. Je ne sais au bout de combien de temps, mais environ 3-4 minutes pour revenir à hauteur.
Et là, tout d'un coup, c'est extinction des lumières et le CSP encaisse un 22-6 sur le reste du quart temps, pour finir à -17.
Mentalement, techniquement, quelque soit les joueurs sur le parquet, les joueurs ne réussissent plus rien durant 5-6 minutes.
Avez-vous remarqué un fait de jeu, des changements qui ont induit cette brutale rupture dans le déroulement du score ?
Moi pas.
Cancellieri prend quasiment 2 TM de suite, mais rien n'y fait.
Comment imaginer qu'après être revenus à -1, tout d'un coup, ils se diraient, bon ça va là , on a montré qu'on pouvait le faire, mais finalement, non, on finit pépère le match à-17. C'est absurde. Certes, les 4 dernières minutes du match, Jones et Rodriguez font leur stats. Mais le match est déjà joué, au score et sur le plan collectif.
Comme je n'ai rien remarqué de particulier, je ne vais pas dire que c'est le coach qui fait des changements absurdes qui ont entrainé ce blocage, pas plus à -1 qu'ensuite, pour essayer de relancer l'équipe. Il semblait tout aussi impuissant que ses joueurs à trouver une parade. Je n'ai rien vu de génial côté SIG qui expliquerait non plus le décrochage au score.
Je ne me l'explique pas tout simplement.
Là où on voit bien que l'équipe va mal, dans les têtes, c'est que les nombreuses fois cette saison où elle prenait des éclats jusqu'à -20 voire un peu plus, mentalement, physiquement, tous les joueurs bataillaient et arrivaient à revenir au score. Pourtant en 1ere MT, l'écart oscillait entre -2 et -8 mais l'équipe s'accrochait. Et là, d'un coup plus rien, comme un naufragé qui nage sans arrêt pour rejoindre un radeau et qui au moment de le saisir perd toute capacité et se noie.
Mais depuis mars, cela n'opère plus. Même coach et mêmes joueurs pourtant.
Cette équipe est malade de son jeu. Comme si la victoire était un "truc indépassable" désormais, quelque chose auquel on ne croit plus, inatteignable malgré les efforts.
Jusqu'à cette 24-25e minute, il n'y a pas de je-m’en-foutisme, de feignasses qui ne "mouillent pas le maillot". Mais je vois ensuite des joueurs dépités, désabusés, qui se regardent en se demandant comment ils en sont là.
Et nous qui gueulons notre dépit en tribune.
C'en en fait des déçus....
Je serais moins sévères que vous sur les joueurs car je ne vois pas leur intérêt de perdre s'il peuvent gagner, plus encore à Beaublanc.
Ils ne sont pas idiots et je ne crois pas que sortir sous les sifflets du public les fassent rigoler. On en fait pas ce "métier" pour perdre.
Surtout après avoir éprouvé les émotions du match contre les Met's par exemple, dans cette même salle
Et même les imaginer ne serait-ce qu'indifférents au sort du CSP me semble déjà beaucoup. Et en aucun cas généralisable.
Je ne sais pas ce qu'ils préparent la semaine avec le coach et ce qu'ils font réellement en match par rapport à ce qui a été demandé. Ce qui ne veut pas dire que ce qui a été demandé est bon pour autant.
Car en fin de compte, il se passe un "truc" que je n'arrive pas à expliquer.
On ne va pas dire que le CSP joue bien en 1ère mi-temps, en tout cas guère plus mal que la SIG.
20-24 au 1er quart et 14-18 au 2e. Donc -8 à la mi-temps. Pas glorieux, mais rien de vraiment mauvais avec 34-42.
Le 3e quart part bien, assez rapidement le CSP revient à 45-46, donc -1 en passant un 11-4 à la SIG. Je ne sais au bout de combien de temps, mais environ 3-4 minutes pour revenir à hauteur.
Et là, tout d'un coup, c'est extinction des lumières et le CSP encaisse un 22-6 sur le reste du quart temps, pour finir à -17.
Mentalement, techniquement, quelque soit les joueurs sur le parquet, les joueurs ne réussissent plus rien durant 5-6 minutes.
Avez-vous remarqué un fait de jeu, des changements qui ont induit cette brutale rupture dans le déroulement du score ?
Moi pas.
Cancellieri prend quasiment 2 TM de suite, mais rien n'y fait.
Comment imaginer qu'après être revenus à -1, tout d'un coup, ils se diraient, bon ça va là , on a montré qu'on pouvait le faire, mais finalement, non, on finit pépère le match à-17. C'est absurde. Certes, les 4 dernières minutes du match, Jones et Rodriguez font leur stats. Mais le match est déjà joué, au score et sur le plan collectif.
Comme je n'ai rien remarqué de particulier, je ne vais pas dire que c'est le coach qui fait des changements absurdes qui ont entrainé ce blocage, pas plus à -1 qu'ensuite, pour essayer de relancer l'équipe. Il semblait tout aussi impuissant que ses joueurs à trouver une parade. Je n'ai rien vu de génial côté SIG qui expliquerait non plus le décrochage au score.
Je ne me l'explique pas tout simplement.
Là où on voit bien que l'équipe va mal, dans les têtes, c'est que les nombreuses fois cette saison où elle prenait des éclats jusqu'à -20 voire un peu plus, mentalement, physiquement, tous les joueurs bataillaient et arrivaient à revenir au score. Pourtant en 1ere MT, l'écart oscillait entre -2 et -8 mais l'équipe s'accrochait. Et là, d'un coup plus rien, comme un naufragé qui nage sans arrêt pour rejoindre un radeau et qui au moment de le saisir perd toute capacité et se noie.
Mais depuis mars, cela n'opère plus. Même coach et mêmes joueurs pourtant.
Cette équipe est malade de son jeu. Comme si la victoire était un "truc indépassable" désormais, quelque chose auquel on ne croit plus, inatteignable malgré les efforts.
Jusqu'à cette 24-25e minute, il n'y a pas de je-m’en-foutisme, de feignasses qui ne "mouillent pas le maillot". Mais je vois ensuite des joueurs dépités, désabusés, qui se regardent en se demandant comment ils en sont là.
Et nous qui gueulons notre dépit en tribune.
C'en en fait des déçus....