On est bien d'accord que si c'est le critère, il va leur falloir autre chose que le terme "dépensier" pour justifier une faute lourde.
- Mais à court terme, jusqu'en juin et la fin de son contrat, ils ne payent plus son salaire (6 mois d'économie)
- s'ils pensent rétablir les finances rapidement, sans doute pensent-ils pouvoir régler plus tard sans trop de soucis les dépends d'un procès perdu au prudhommes
Leur souci majeur est le fait de trouver du cash à (très) court terme, Donc tout est bon pour cela, quitte à pénaliser le CSP ultérieurement. Je le vois comma ça, un calcul financier à la petite semaine traduction d'une fuite en avant au risque d'obérer gravement l'avenir avec des pénalités encore plus lourdes.
- Mais à court terme, jusqu'en juin et la fin de son contrat, ils ne payent plus son salaire (6 mois d'économie)
- s'ils pensent rétablir les finances rapidement, sans doute pensent-ils pouvoir régler plus tard sans trop de soucis les dépends d'un procès perdu au prudhommes
Leur souci majeur est le fait de trouver du cash à (très) court terme, Donc tout est bon pour cela, quitte à pénaliser le CSP ultérieurement. Je le vois comma ça, un calcul financier à la petite semaine traduction d'une fuite en avant au risque d'obérer gravement l'avenir avec des pénalités encore plus lourdes.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.