Dès qu'on a limité la "pluie" venue de Jefferson et Colson, le CSP a eu sa sa chance et l'a saisie.
Bien sûr, certains joueurs doivent progresser au scoring. Mais on voit bien que ce n'est pas un problème Invernizzi quand il joue avec Nelson-Scrubb-Lang-Boutsiele. Ces 4 là assurent la marque sans problème.
Cela devient un problème quand Invernizzi est avec une partie du banc. Rarement en même temps que Mbala c'est vrai, mais plus souvent avec soit Beyhurst et/ou Crusol voire Paumier. C'est à ce moment là qu'on a besoin de lui au scoring. Seulement, voilà, ce sont les arrières qui sont sans doute un peu faibles pour lui donner de bonnes positions de tir. A se demander d'ailleurs dans quelle mesure Invernizzi ne doit pas songer à travailler pour se créer seul sa position de tir dans cette configuration d'équipe. Le temps faisant, l'âge avançant, il (H.I.) a tout intérêt à travailler son jeu dos au panier et dans un périmètre de 3-5 mètres. Tous les postes 4 de JE ne font pas 2,05m. En plus il a une bonne vision du jeu. Il peut aussi ressortir la balle si besoin.
Enfin, il faut que Mary arrive à trouver de(s) meilleures transitions dans ses compositions d'équipe en cours de 1er QT. La rupture de niveau est trop brutale actuellement.
En 5 : Si Paumier progresse, il faut peut être le faire entrer plus tôt, à la 5-6e minute, lui laisser finir le QT1 et juste débuter le QT2 sur 1 à 2 minutes et Boutsiele va jusqu'à la MT.
En 4 : Faire débuter MBala pendant 3 à 5 minutes puis faire entrer Invernizzi (qui est un des joueurs qui a le plus de temps jeu il me semble).
Sur les postes arrières, sachant que Scrubb sait jouer meneur, en tout cas sait animer le jeu, plus l'associer avec Beyhurst et Crusol tandis que Nelson jouerait plus avec Lang et Ginyard.
Du coup, débuter par Nelson - Lang - Ginyard - MBala - Boutsiele et tendre vers un Beyhurst - Crusol/Lang - Scrubb/Ginayrd - Invernizzi - Paumier.
Débuter par un "5" un peu moins fort face aux équipes plus faibles afin d’essayer de maintenir le même niveau défense/attaque tout le match. Là clairement, on fléchit fortement en attaque lorsque trop de joueurs majeurs sont sur le banc.
Mais comme vous le dites, on note une progression tant dans le coaching que chez certains joueurs qui semblent mieux saisir leur chance durant leur temps de jeu comme Paumier.
Bien sûr, certains joueurs doivent progresser au scoring. Mais on voit bien que ce n'est pas un problème Invernizzi quand il joue avec Nelson-Scrubb-Lang-Boutsiele. Ces 4 là assurent la marque sans problème.
Cela devient un problème quand Invernizzi est avec une partie du banc. Rarement en même temps que Mbala c'est vrai, mais plus souvent avec soit Beyhurst et/ou Crusol voire Paumier. C'est à ce moment là qu'on a besoin de lui au scoring. Seulement, voilà, ce sont les arrières qui sont sans doute un peu faibles pour lui donner de bonnes positions de tir. A se demander d'ailleurs dans quelle mesure Invernizzi ne doit pas songer à travailler pour se créer seul sa position de tir dans cette configuration d'équipe. Le temps faisant, l'âge avançant, il (H.I.) a tout intérêt à travailler son jeu dos au panier et dans un périmètre de 3-5 mètres. Tous les postes 4 de JE ne font pas 2,05m. En plus il a une bonne vision du jeu. Il peut aussi ressortir la balle si besoin.
Enfin, il faut que Mary arrive à trouver de(s) meilleures transitions dans ses compositions d'équipe en cours de 1er QT. La rupture de niveau est trop brutale actuellement.
En 5 : Si Paumier progresse, il faut peut être le faire entrer plus tôt, à la 5-6e minute, lui laisser finir le QT1 et juste débuter le QT2 sur 1 à 2 minutes et Boutsiele va jusqu'à la MT.
En 4 : Faire débuter MBala pendant 3 à 5 minutes puis faire entrer Invernizzi (qui est un des joueurs qui a le plus de temps jeu il me semble).
Sur les postes arrières, sachant que Scrubb sait jouer meneur, en tout cas sait animer le jeu, plus l'associer avec Beyhurst et Crusol tandis que Nelson jouerait plus avec Lang et Ginyard.
Du coup, débuter par Nelson - Lang - Ginyard - MBala - Boutsiele et tendre vers un Beyhurst - Crusol/Lang - Scrubb/Ginayrd - Invernizzi - Paumier.
Débuter par un "5" un peu moins fort face aux équipes plus faibles afin d’essayer de maintenir le même niveau défense/attaque tout le match. Là clairement, on fléchit fortement en attaque lorsque trop de joueurs majeurs sont sur le banc.
Mais comme vous le dites, on note une progression tant dans le coaching que chez certains joueurs qui semblent mieux saisir leur chance durant leur temps de jeu comme Paumier.