09-11-2022, 10:38:01
Si tous les clubs de l'Elite ou plutôt si aucun club de l'Elite ne veut devenir ou rester une œuvre caritative, elle devient quoi la formation ?
Quant à l'aspect titres/versus formation, je ne vois pas en quoi cela est antinomique.
Car cela revient à dire que le CSP a son palmarès parce qu'il n'a jamais formé un seul jeune. Hors depuis 1980, le CSP n'a pas gagné tous les titres. Et ceux qui les ont remporté à sa place ont eu des succès de formation.
Dans notre discussion, il nous faut différencier la période d'apprentissage du basket de haut niveau (15-18 ans), de celle de la professionnalisation du basket que l'on peut assimiler au passage des joueurs Espoirs (18-21ans) à celle de pro.
J'aimerais bien que le CSP se fortifie sur cette dernière articulation. Car être capable de faire basculer 1 jeune par saison d'Espoir à pro en le gardant au club, c'est aussi s'offrir des joueurs à fort tempérament qui pourront incarner le CSP.
Plusieurs fois cette saison, certains ont écrit qu'ils avaient u mal à s'identifier à notre équipe parce qu'elle n'était pas aussi JFL"friendly" que celle de l'an passé. Mais l'an passé, Invernizzi, Lang et Crusol ont passé au moins 2-3 ans au CSP. Tout comme Boutsiele, NBC, Moerman, Westerman et bien d'autre encore. Comment peut on forger une identité "club", une spécificité JFL-CSP si on ne peut donner du temps pour forger ou adapter les personnalités des joueurs.
Nous le savons tous que les meilleurs JFL sont rares et chers. N'est-il pas plus vertueux de prendre "quelques" risques pour se créer ses propres vecteurs de l’identité du club ? C'est en ce sens que je plaide pour un peu plus d'audace. Le club a bien moins à perdre qu'à gagner à être moins frileux sur ce sujet.
Quant à l'aspect titres/versus formation, je ne vois pas en quoi cela est antinomique.
Car cela revient à dire que le CSP a son palmarès parce qu'il n'a jamais formé un seul jeune. Hors depuis 1980, le CSP n'a pas gagné tous les titres. Et ceux qui les ont remporté à sa place ont eu des succès de formation.
Dans notre discussion, il nous faut différencier la période d'apprentissage du basket de haut niveau (15-18 ans), de celle de la professionnalisation du basket que l'on peut assimiler au passage des joueurs Espoirs (18-21ans) à celle de pro.
J'aimerais bien que le CSP se fortifie sur cette dernière articulation. Car être capable de faire basculer 1 jeune par saison d'Espoir à pro en le gardant au club, c'est aussi s'offrir des joueurs à fort tempérament qui pourront incarner le CSP.
Plusieurs fois cette saison, certains ont écrit qu'ils avaient u mal à s'identifier à notre équipe parce qu'elle n'était pas aussi JFL"friendly" que celle de l'an passé. Mais l'an passé, Invernizzi, Lang et Crusol ont passé au moins 2-3 ans au CSP. Tout comme Boutsiele, NBC, Moerman, Westerman et bien d'autre encore. Comment peut on forger une identité "club", une spécificité JFL-CSP si on ne peut donner du temps pour forger ou adapter les personnalités des joueurs.
Nous le savons tous que les meilleurs JFL sont rares et chers. N'est-il pas plus vertueux de prendre "quelques" risques pour se créer ses propres vecteurs de l’identité du club ? C'est en ce sens que je plaide pour un peu plus d'audace. Le club a bien moins à perdre qu'à gagner à être moins frileux sur ce sujet.