19-01-2024, 21:07:29
Quelqu’un a publié l’article (désolé le popu), mais là c’est la nausée …
“Mais les documents comptables que nous avons pu consulter sont encore beaucoup plus inquiétants. Ils font état d’un déficit dépassant le million d’euros. La SASP limougeaude affiche comme résultat courant une perte de 973.211 euros, auxquels il convient d’ajouter 203.760 euros de charges exceptionnelles dont 164.000 euros proviendraient d’un trop-perçu suite à la compensation billetterie issu de la période Covid.
Maxime Moczulski caution de Stéphane Roulois
Le Limoges CSP affiche une situation nette négative de 253.197 malgré une nouvelle recapitalisation après celle de juin 2022 (réalisée par le père de Céline Forte) effectuée au mois de juin 2023 à hauteur de 600.000 euros. Elle a notamment été possible grâce aux quelque 300.000 euros réinjectés par l’association Limoges CSP Élite. L’ancien président Yves Martinez a, lui, apporté 50.000 euros.
Les nouveaux bienfaiteurs du club limougeaud, Maxime Moczulski, Adrien Jannel (ou sa société Adjan) et Pandora, une société domiciliée à Meymac et détenue par Stéphane Roulois, le propriétaire de Tante Adèle à Limoges, qui n’a toujours pas payé l’intégralité de ses factures de partenariats avec le CSP, ont participé à cette augmentation de capital. Céline Forte et sa famille proche auraient ajouté le complément. Stéphane Roulois n'a pas réglé toutes ses factures encore.
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JE M'INSCRIS
Selon nos informations, Maxime Moczulski s’est porté caution solidaire au profit de la SASP Limoges CSP concernant les engagements des sociétés Corgnac Immo, Wall Street, Corgnac Media et Tante Adèle à hauteur de 171.576 euros jusqu’à la date du 1er janvier 2026. Cela aurait notamment aidé le club limougeaud à obtenir son engagement en première division.
En plus de cette recapitalisation, le club a fortement diminué ses pertes grâce à des opérations exceptionnelles rendues possibles par des abandons de compte courant d’associés avec clause de retour à meilleure fortune : Céline Forte à hauteur de 200.000 euros, Josepha Forte à hauteur de 50.000 euros, Angiolina Forte à hauteur de 50.000 euros et Pandora, la société de conseil pour les affaires et autres conseils de gestion de Stéphane Roulois, à hauteur de 125.000 euros.
Une trésorerie positive directement liée au PGE
Mais s’il veut continuer d’exister, le Limoges CSP va devoir revoir son mode de gestion en profondeur. Car s’il s’est félicité dans le communiqué de mercredi de posséder une trésorerie de 519.000 euros, cela paraît insuffisant à ce stade de la saison. Surtout, cette trésorerie positive est directement liée au prêt garanti par l’État d’un million d’euros lors de la période Covid et pour lequel le CSP doit encore rembourser 750.000 euros sans compter les intérêts.
De plus, le dernier exercice comptable du Limoges CSP n’est pas un épiphénomène. Il avait déjà perdu 582.571 euros à l’issue de la saison 2021-2022. Depuis que Céline Forte a repris le club en mai 2019, le CSP a perdu près d’1,5 million d’euros. Et ce malgré d’importants efforts financiers de ses actionnaires et hors augmentations de capital.
Impossible de voir le club perdurer dans ces conditions. D’autant plus que le CSP doit encore gérer son procès devant le conseil des prud’hommes avec son ancien directeur marketing Kevin Boisseau et qu’il n’est pas l’abri de se retrouver devant la même juridiction avec Kevin Anstett.Guillaume Lanave démarche des anciens joueurs du Limoges CSP.
Sans doute conscients de l’urgence de la situation, les dirigeants limougeauds ont souhaité mettre en place un plan d’action incluant une réduction de certaines charges ainsi qu’une nouvelle recapitalisation de la société prévue lors du premier semestre 2024. Si, pour le moment, aucun nom de nouvel actionnaire n’a filtré, Guillaume Lanave, le directeur marketing du club, intouchable aux yeux de sa belle-mère Céline Forte, serait actuellement en train de démarcher d’anciens joueurs américains passés par le club limougeaud à l’image du meneur Semaj Christon dont l’agent a été surpris de voir la proposition envoyée à son client. Une proposition de nouvelle ouverture du capital à hauteur de 20 % pour 400.000 euros. Cela valoriserait ainsi la SASP CSP à 2 millions d’euros. Une pure utopie pour une société aux capitaux propres négatifs et qui a généré des pertes cumulées de plus 2,3 millions d’euros sur les cinq derniers exercices. Cela renvoie l’image d’un Limoges CSP aux abois et de plus en plus proche du précipice”
“Mais les documents comptables que nous avons pu consulter sont encore beaucoup plus inquiétants. Ils font état d’un déficit dépassant le million d’euros. La SASP limougeaude affiche comme résultat courant une perte de 973.211 euros, auxquels il convient d’ajouter 203.760 euros de charges exceptionnelles dont 164.000 euros proviendraient d’un trop-perçu suite à la compensation billetterie issu de la période Covid.
Maxime Moczulski caution de Stéphane Roulois
Le Limoges CSP affiche une situation nette négative de 253.197 malgré une nouvelle recapitalisation après celle de juin 2022 (réalisée par le père de Céline Forte) effectuée au mois de juin 2023 à hauteur de 600.000 euros. Elle a notamment été possible grâce aux quelque 300.000 euros réinjectés par l’association Limoges CSP Élite. L’ancien président Yves Martinez a, lui, apporté 50.000 euros.
Les nouveaux bienfaiteurs du club limougeaud, Maxime Moczulski, Adrien Jannel (ou sa société Adjan) et Pandora, une société domiciliée à Meymac et détenue par Stéphane Roulois, le propriétaire de Tante Adèle à Limoges, qui n’a toujours pas payé l’intégralité de ses factures de partenariats avec le CSP, ont participé à cette augmentation de capital. Céline Forte et sa famille proche auraient ajouté le complément. Stéphane Roulois n'a pas réglé toutes ses factures encore.
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Selon nos informations, Maxime Moczulski s’est porté caution solidaire au profit de la SASP Limoges CSP concernant les engagements des sociétés Corgnac Immo, Wall Street, Corgnac Media et Tante Adèle à hauteur de 171.576 euros jusqu’à la date du 1er janvier 2026. Cela aurait notamment aidé le club limougeaud à obtenir son engagement en première division.
En plus de cette recapitalisation, le club a fortement diminué ses pertes grâce à des opérations exceptionnelles rendues possibles par des abandons de compte courant d’associés avec clause de retour à meilleure fortune : Céline Forte à hauteur de 200.000 euros, Josepha Forte à hauteur de 50.000 euros, Angiolina Forte à hauteur de 50.000 euros et Pandora, la société de conseil pour les affaires et autres conseils de gestion de Stéphane Roulois, à hauteur de 125.000 euros.
Une trésorerie positive directement liée au PGE
Mais s’il veut continuer d’exister, le Limoges CSP va devoir revoir son mode de gestion en profondeur. Car s’il s’est félicité dans le communiqué de mercredi de posséder une trésorerie de 519.000 euros, cela paraît insuffisant à ce stade de la saison. Surtout, cette trésorerie positive est directement liée au prêt garanti par l’État d’un million d’euros lors de la période Covid et pour lequel le CSP doit encore rembourser 750.000 euros sans compter les intérêts.
De plus, le dernier exercice comptable du Limoges CSP n’est pas un épiphénomène. Il avait déjà perdu 582.571 euros à l’issue de la saison 2021-2022. Depuis que Céline Forte a repris le club en mai 2019, le CSP a perdu près d’1,5 million d’euros. Et ce malgré d’importants efforts financiers de ses actionnaires et hors augmentations de capital.
Impossible de voir le club perdurer dans ces conditions. D’autant plus que le CSP doit encore gérer son procès devant le conseil des prud’hommes avec son ancien directeur marketing Kevin Boisseau et qu’il n’est pas l’abri de se retrouver devant la même juridiction avec Kevin Anstett.Guillaume Lanave démarche des anciens joueurs du Limoges CSP.
Sans doute conscients de l’urgence de la situation, les dirigeants limougeauds ont souhaité mettre en place un plan d’action incluant une réduction de certaines charges ainsi qu’une nouvelle recapitalisation de la société prévue lors du premier semestre 2024. Si, pour le moment, aucun nom de nouvel actionnaire n’a filtré, Guillaume Lanave, le directeur marketing du club, intouchable aux yeux de sa belle-mère Céline Forte, serait actuellement en train de démarcher d’anciens joueurs américains passés par le club limougeaud à l’image du meneur Semaj Christon dont l’agent a été surpris de voir la proposition envoyée à son client. Une proposition de nouvelle ouverture du capital à hauteur de 20 % pour 400.000 euros. Cela valoriserait ainsi la SASP CSP à 2 millions d’euros. Une pure utopie pour une société aux capitaux propres négatifs et qui a généré des pertes cumulées de plus 2,3 millions d’euros sur les cinq derniers exercices. Cela renvoie l’image d’un Limoges CSP aux abois et de plus en plus proche du précipice”
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"Il y a eu de la Resistance ici, le syndicalisme y est né. J'ai rencontré la fiérté des combattants.
Les couilles, quoi." Bonat'
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