06-11-2025, 11:05:28
En ce milieu de semaine, pour le CSP, il y a la constitution de la troupe espérée pour dimanche, plus pou moins connue, la réalité de la troupe disponible en début de soirée, et plus encore, l’efficacité de la troupe face à l’adversaire du soir.
Quoiqu’on pense de Paris et de leur histoire récente, quoiqu’on pense de leur jeu souvent qualifié à tort de hourra basket, qui que ce soit comme adversaire à qui ils se confrontent, et donc quelque soit la compétition à la laquelle ils participent, Paris est un adversaire compliqué à jouer.
Aussi, dans la préparation de chacun de leur match, je pense moins que celle-ci soit destinée à donner des idées nouvelles au staff parisien pour la confrontation qui vient qu’à chercher à identifier quelle spécificité de leur propre jeu sera la plus à même de compliquer la tâche de les défendre. Le CSP ne devrait pas y échapper surtout avec ses armes bien modestes.
La singularité du jeu de Paris présente une différence majeure avec celle de l’Asvel et plus encore de Monaco. Il y a peu de chance que leur esprit soit ailleurs pendant 30-40 minutes. Or justement, le manque concernement occasionnel pour les gars du rocher peut survenir à tout moment, ce qui permet à n’importe quelle équipe de les surprendre dans toutes les compétitions. L’Asvel est plus sujette à un manque de réussite collective ou des absences pour blessures par exemple qui feraient chuter leur efficacité. Pour Paris, rien de cela ; c’est la typicité de leur jeu avec ses très nombreuses rotations qui maintient l’envie intacte pour tout le groupe, et qui fait que l’intensité qu’ils mettent ne peut s’éteindre que face à de très forts adversaires. Il faut être très costaud pour les mettre au pas.
Le CSP « normal » ne fait pas partie de ces équipes à même de résister. Et encore moins un CSP amoindri par les absences ou les méformes, comme on l’a vu face à un Monaco très concentré, malgré la farouche volonté montrée par notre équipe en 2e mi-temps dimanche dernier. Si on ajoute la toujours extrême fragilité du jeu loin de Beaublanc, cela fait que la coupe des insuffisances du CSP déborde depuis un bon moment. Quand commencera-t-elle à se vider ?
Il n’y a donc en principe rien à attendre de bien fameux en terme de résultat à la fin de ce match parisien. Contrairement à celui face à Monaco, la victoire semble au-delà de l’hypothétique car Paris lâche très rarement des matchs, et plus encore face à de faibles adversaires. Pour autant, si la défaite probable est confirmée sur le coup de 21h00, on pourra toujours essayer de lire dans les entrailles de ce revers le contenu qui module la fameuses expression des « défaites encourageantes » dont on a déjà parlé. "Encourageantes" ou porteuses d'espoir, car ces entrailles révéleront-elles un peu de l’avenir de « l’après » Asvel, match qui sera tout aussi difficile 7 jours plus tard le 16 novembre à Beaublanc ?
Il faut y croire car les attentes et l’enjeu surtout seront cruciaux pour aller visiter la côte d’Opale et le BCM dès le 22 novembre. Il faut espérer que le CSP va enfin cesser de perdre des joueurs sur blessures. Il faut espérer que 2 joueurs vont revenir sur le parquet, Guissé d’abord, Lewis ensuite, et peut être aussi Tanner que l’on a toujours pas vu sous nos couleurs. Mais il faut surtout espérer que Mason va enfin élever son niveau de jeu sur ces 2 rencontres qui précèdent ce match quasi décisif dans le nord. Oui décisif, car il permettra de laisser entrebâillée la porte des PO directs, et rendre plus facile l’accès aux PI.
C’est au prix de ces trois exigences cumulées, pas de nouvelle blessure, retour de plusieurs joueurs et un meneur de jeu JNFL enfin impactant que le CSP pourra espérer reprendre son destin en main, faisant des phases finales du championnat autre chose qu’une chimère printanière.
On en est pas encore là, loin s’en faut, et donc moins que le résultat tristement prévisible dès dimanche soir, il faudra regarder action par action, rotation par rotation ce qui fait que la flamme veilleuse de nos espoirs ne s’éteint pas et pourra à nouveau embraser notre enceinte après cette période difficile.
Allez le CSP !
Quoiqu’on pense de Paris et de leur histoire récente, quoiqu’on pense de leur jeu souvent qualifié à tort de hourra basket, qui que ce soit comme adversaire à qui ils se confrontent, et donc quelque soit la compétition à la laquelle ils participent, Paris est un adversaire compliqué à jouer.
Aussi, dans la préparation de chacun de leur match, je pense moins que celle-ci soit destinée à donner des idées nouvelles au staff parisien pour la confrontation qui vient qu’à chercher à identifier quelle spécificité de leur propre jeu sera la plus à même de compliquer la tâche de les défendre. Le CSP ne devrait pas y échapper surtout avec ses armes bien modestes.
La singularité du jeu de Paris présente une différence majeure avec celle de l’Asvel et plus encore de Monaco. Il y a peu de chance que leur esprit soit ailleurs pendant 30-40 minutes. Or justement, le manque concernement occasionnel pour les gars du rocher peut survenir à tout moment, ce qui permet à n’importe quelle équipe de les surprendre dans toutes les compétitions. L’Asvel est plus sujette à un manque de réussite collective ou des absences pour blessures par exemple qui feraient chuter leur efficacité. Pour Paris, rien de cela ; c’est la typicité de leur jeu avec ses très nombreuses rotations qui maintient l’envie intacte pour tout le groupe, et qui fait que l’intensité qu’ils mettent ne peut s’éteindre que face à de très forts adversaires. Il faut être très costaud pour les mettre au pas.
Le CSP « normal » ne fait pas partie de ces équipes à même de résister. Et encore moins un CSP amoindri par les absences ou les méformes, comme on l’a vu face à un Monaco très concentré, malgré la farouche volonté montrée par notre équipe en 2e mi-temps dimanche dernier. Si on ajoute la toujours extrême fragilité du jeu loin de Beaublanc, cela fait que la coupe des insuffisances du CSP déborde depuis un bon moment. Quand commencera-t-elle à se vider ?
Il n’y a donc en principe rien à attendre de bien fameux en terme de résultat à la fin de ce match parisien. Contrairement à celui face à Monaco, la victoire semble au-delà de l’hypothétique car Paris lâche très rarement des matchs, et plus encore face à de faibles adversaires. Pour autant, si la défaite probable est confirmée sur le coup de 21h00, on pourra toujours essayer de lire dans les entrailles de ce revers le contenu qui module la fameuses expression des « défaites encourageantes » dont on a déjà parlé. "Encourageantes" ou porteuses d'espoir, car ces entrailles révéleront-elles un peu de l’avenir de « l’après » Asvel, match qui sera tout aussi difficile 7 jours plus tard le 16 novembre à Beaublanc ?
Il faut y croire car les attentes et l’enjeu surtout seront cruciaux pour aller visiter la côte d’Opale et le BCM dès le 22 novembre. Il faut espérer que le CSP va enfin cesser de perdre des joueurs sur blessures. Il faut espérer que 2 joueurs vont revenir sur le parquet, Guissé d’abord, Lewis ensuite, et peut être aussi Tanner que l’on a toujours pas vu sous nos couleurs. Mais il faut surtout espérer que Mason va enfin élever son niveau de jeu sur ces 2 rencontres qui précèdent ce match quasi décisif dans le nord. Oui décisif, car il permettra de laisser entrebâillée la porte des PO directs, et rendre plus facile l’accès aux PI.
C’est au prix de ces trois exigences cumulées, pas de nouvelle blessure, retour de plusieurs joueurs et un meneur de jeu JNFL enfin impactant que le CSP pourra espérer reprendre son destin en main, faisant des phases finales du championnat autre chose qu’une chimère printanière.
On en est pas encore là, loin s’en faut, et donc moins que le résultat tristement prévisible dès dimanche soir, il faudra regarder action par action, rotation par rotation ce qui fait que la flamme veilleuse de nos espoirs ne s’éteint pas et pourra à nouveau embraser notre enceinte après cette période difficile.
Allez le CSP !
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
Nouvelle vidéo : Top 10 limoges CSP volume II