@ Dacounato : Je te répondrais que c'est du sport et pas une science exacte avec ses lois prouvées par des expériences qui donnent toujours le même résultat à chaque fois.
Que le CSP pouvait gagner ce match, oui bien sûr ! Et il le perd de peu d'ailleurs. Mais que le CSP "devait" gagner comme une certitude écrite d'avance, non. Justement parce que c'est du sport. Mais cela aurait été mieux qu'il le gagne, évidement.
D'où notre ressenti, variable de l'un à l'autre, et il n'en est de bons ni de mauvais.
Il n'est pas question d'excuse. Ils n'ont pas bien joué, tout simplement, et c'est bien eux qui étaient sur terrain. Et on peut lister tout ce qui n'a pas été bien fait, du plus modeste des joueurs jusqu'aux coachs. Mais ils n'ont pas commis de "faute" si l'on veut bien comprendre le sens profond de ce mot. Ni de faute morale avec l'intention préméditée de mal faire (de perdre donc), ni de faute professionnelle en tirant délibérément à côté du panier. Pour ma part, je n'ai pas vu cela, mais je peux me tromper.
La direction n'est "directement" pour rien dans cette défaite. Tu as raison.
Dans une usine, si la machine est bien entretenue et bien réglée, elle fera très bien le travail pour lequel elle a été conçue. Et elle le fera chaque fois qu'on la sollicitera pour cela. Tant que toutes les conditions de son bon fonctionnement seront réunies, énergies disponibles, maintenance prédictive et préventive réalisées, réglages bien adaptés à la production à faire, elle fera toujours le "bon geste", le "bon mouvement" juste comme il est prévu, au rythme prévu, sans s'agacer ni se fatiguer, encore moins se plaindre ou se mettre en grève.
Reste 'juste" à faire en sorte que le personnel de maintenance puisse faire son travail correctement et que les opérateurs de production ne s’emmêlent pas les pinceaux pour régler et conduire la machine, en étant le plus possible à leur tâche, concentrés et heureux de la faire.
Je te laisse transposer la métaphore ci-dessus dans le cadre du CSP, où bien sûr, il n'est plus du tout question de machine, mais seulement d'être humains.
Pas d'excuse donc, mais des êtres humains.
Pour ceux qui ont ou ont eu à encadrer des personnels, à avoir la responsabilité de "faire produire" autrui et d'en obtenir un résultat précis, ils voient sans doute très bien ce à quoi je fais allusion. Ils savent que ça ne marche pas à tous les coups et pas forcément aussi bien que si nous l'avions fait nous-même, du moins le pensons-nous. Avons-nous réuni toutes les bonnes conditions pour cela soit réussi par cette personne ? Est-ce que c'était bien à cette personne qu'il fallait confier cette tâche ? La personne était-elle concentrée sur son travail ? Et si non, pourquoi ? Était-elle en forme ? Fatiguée, préoccupée ? Ses outils ou la machine en face d'elle convenaient-ils ? En bon état ? Bref, tous les ressorts sur lesquels repose le management d'équipe et la performance qui en résulte.
Et avec cela, comme un "léger" détail assez spécifique au sport et qui vient compliquer la donne de la comparaison ci-dessus : l'adversaire !
Un humain aussi, tout aussi peu disposé à vous laisser bien faire votre "travail" et parfois bien enclin à profiter de vos faiblesses et de vos erreurs.
Un détail je vous dis.
Je ne dis pas que joueurs et coachs du CSP doivent être exonérés de tous reproches sur ce match comme sur d'autres. Mais l'erreur fait partie du jeu, erreur personnelle ou provoquée, erreur d'autant plus prévisible que nos joueurs et coachs ne sont pas les meilleurs dans leur sport. Les meilleurs, qui ne font donc que peu d'erreurs, sont dans d'autres clubs. Il suffit de regarder l'EL pour l'Europe, ou même d'autres match de LNB-BE. Mais ils en font aussi des erreurs. C'est alors encore plus incompréhensible puisqu'ils sont meilleurs et supposés ne pas en faire.
Franchement, ces humains, je vous le dis, c'est pas fiable !
Il reste à me démontrer que certains sont à la "faute", ce qui est bien différent. Acteurs, ils sont forcément responsables de ce qu'ils produisent, mais c'est une autre notion.
A ce jour, je ne vois pas qui est à la faute.
Mais si le CSP vient à s'enfermer plus encore dans une spirale de défaites, tout humain qu'ils sont, et justement parce qu'ils sont humains, faute il pourrait y avoir chez tel ou tel. Faute sera attribuée à "quelqu'un". Dans cette spirale, il pourrait se produire le moment où l'erreur deviendra faute ; où un LF raté, un tir pas pris, ou mal pris et raté, une faute pas faite, ou mal faite et se transformant en anti sportive, bref le geste manquant, raté ou de trop qui fera que le CSP soit relégué et non plus relégable. Cela fera qu'on aura notre joueur fautif donc coupable, qui enverra le CSP en proB, voire pire. Celui dont c'est la faute. Il pourrait y en avoir un qui soit le dépositaire de toute la frustration, déception ou colère que cela engendrerait. Comme il en a eu auparavant d'autres. Plus encore qu'hier, l'époque veut cela, l'époque veut que l'on désigne, identifie qui sera sur l'autel et sacrifié.
Mais nous n'en sommes pas là et j'espère qu'ils arriveront à se reprendre.
Que le CSP pouvait gagner ce match, oui bien sûr ! Et il le perd de peu d'ailleurs. Mais que le CSP "devait" gagner comme une certitude écrite d'avance, non. Justement parce que c'est du sport. Mais cela aurait été mieux qu'il le gagne, évidement.
D'où notre ressenti, variable de l'un à l'autre, et il n'en est de bons ni de mauvais.
Il n'est pas question d'excuse. Ils n'ont pas bien joué, tout simplement, et c'est bien eux qui étaient sur terrain. Et on peut lister tout ce qui n'a pas été bien fait, du plus modeste des joueurs jusqu'aux coachs. Mais ils n'ont pas commis de "faute" si l'on veut bien comprendre le sens profond de ce mot. Ni de faute morale avec l'intention préméditée de mal faire (de perdre donc), ni de faute professionnelle en tirant délibérément à côté du panier. Pour ma part, je n'ai pas vu cela, mais je peux me tromper.
La direction n'est "directement" pour rien dans cette défaite. Tu as raison.
Dans une usine, si la machine est bien entretenue et bien réglée, elle fera très bien le travail pour lequel elle a été conçue. Et elle le fera chaque fois qu'on la sollicitera pour cela. Tant que toutes les conditions de son bon fonctionnement seront réunies, énergies disponibles, maintenance prédictive et préventive réalisées, réglages bien adaptés à la production à faire, elle fera toujours le "bon geste", le "bon mouvement" juste comme il est prévu, au rythme prévu, sans s'agacer ni se fatiguer, encore moins se plaindre ou se mettre en grève.
Reste 'juste" à faire en sorte que le personnel de maintenance puisse faire son travail correctement et que les opérateurs de production ne s’emmêlent pas les pinceaux pour régler et conduire la machine, en étant le plus possible à leur tâche, concentrés et heureux de la faire.
Je te laisse transposer la métaphore ci-dessus dans le cadre du CSP, où bien sûr, il n'est plus du tout question de machine, mais seulement d'être humains.
Pas d'excuse donc, mais des êtres humains.
Pour ceux qui ont ou ont eu à encadrer des personnels, à avoir la responsabilité de "faire produire" autrui et d'en obtenir un résultat précis, ils voient sans doute très bien ce à quoi je fais allusion. Ils savent que ça ne marche pas à tous les coups et pas forcément aussi bien que si nous l'avions fait nous-même, du moins le pensons-nous. Avons-nous réuni toutes les bonnes conditions pour cela soit réussi par cette personne ? Est-ce que c'était bien à cette personne qu'il fallait confier cette tâche ? La personne était-elle concentrée sur son travail ? Et si non, pourquoi ? Était-elle en forme ? Fatiguée, préoccupée ? Ses outils ou la machine en face d'elle convenaient-ils ? En bon état ? Bref, tous les ressorts sur lesquels repose le management d'équipe et la performance qui en résulte.
Et avec cela, comme un "léger" détail assez spécifique au sport et qui vient compliquer la donne de la comparaison ci-dessus : l'adversaire !
Un humain aussi, tout aussi peu disposé à vous laisser bien faire votre "travail" et parfois bien enclin à profiter de vos faiblesses et de vos erreurs.
Un détail je vous dis.
Je ne dis pas que joueurs et coachs du CSP doivent être exonérés de tous reproches sur ce match comme sur d'autres. Mais l'erreur fait partie du jeu, erreur personnelle ou provoquée, erreur d'autant plus prévisible que nos joueurs et coachs ne sont pas les meilleurs dans leur sport. Les meilleurs, qui ne font donc que peu d'erreurs, sont dans d'autres clubs. Il suffit de regarder l'EL pour l'Europe, ou même d'autres match de LNB-BE. Mais ils en font aussi des erreurs. C'est alors encore plus incompréhensible puisqu'ils sont meilleurs et supposés ne pas en faire.
Franchement, ces humains, je vous le dis, c'est pas fiable !
Il reste à me démontrer que certains sont à la "faute", ce qui est bien différent. Acteurs, ils sont forcément responsables de ce qu'ils produisent, mais c'est une autre notion.
A ce jour, je ne vois pas qui est à la faute.
Mais si le CSP vient à s'enfermer plus encore dans une spirale de défaites, tout humain qu'ils sont, et justement parce qu'ils sont humains, faute il pourrait y avoir chez tel ou tel. Faute sera attribuée à "quelqu'un". Dans cette spirale, il pourrait se produire le moment où l'erreur deviendra faute ; où un LF raté, un tir pas pris, ou mal pris et raté, une faute pas faite, ou mal faite et se transformant en anti sportive, bref le geste manquant, raté ou de trop qui fera que le CSP soit relégué et non plus relégable. Cela fera qu'on aura notre joueur fautif donc coupable, qui enverra le CSP en proB, voire pire. Celui dont c'est la faute. Il pourrait y en avoir un qui soit le dépositaire de toute la frustration, déception ou colère que cela engendrerait. Comme il en a eu auparavant d'autres. Plus encore qu'hier, l'époque veut cela, l'époque veut que l'on désigne, identifie qui sera sur l'autel et sacrifié.
Mais nous n'en sommes pas là et j'espère qu'ils arriveront à se reprendre.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.