30-10-2022, 09:59:38
Cela me fait penser à un autre débat où un confetti territorial du sud serait "français" de par sa seule position géographique. Ou sa langue. Ou sa participation au championnat français.
Si l'arrêt Bosman pouvait avoir un sens d'un strict point de vue européen (destinée commune des états membres), cela devient tout de suite plus confus quand le statut Cotonou y est associé avec les mêmes contraintes, car Cotonou renvoie aux anciennes colonies de certains état membres ; pas ce qu'il y a de plus glorieux.
Mais les libéraux européens n'avaient que faire de la notion d'identification spécifique dans le sport et l'attachement du public à une ville.
Ce qui était important, c'était le fameux plombier polonais de la directive Bolkenstein, et le rattachement des travailleurs au conditions de leur pays d'origine, fléau du transport routier, fléau des gros chantiers du bâtiment.
Aussi, on peut s'estimer heureux du quota de JFL (pas forcément français d'ailleurs) imposé par la LNB. Ce qui n'induit pas que ces mêmes français aient un rôle important dans l'équipe, réduisant d'autant l'attachement à l'équipe. C'est qui a déjà été reproché cette année sur ce même forum par plusieurs membres pour le CSP car peu de JFL n'ont jusque-là d'impact dans le fonctionnement du club. Et si Lang se retrouve bien seul, on peut espérer que Yeguete pourra conforter son aura en prenant plus de place dans le jeu. Ugolin pourrait le devenir si ses 5 ans de contrat lui permettent de se forger un avenir au CSP. Wojciechowski, très dévoué au club qui l'emploie, n'a que peu de chance d'être une personnalité de référence, une image "tutélaire". J'apprécie beaucoup de dernier par ailleurs, mais c'est autre chose.
Jusque-là, pour les 2 dernières décennies du moins, le CSP avait un bloc de joueurs assimilables à "français", mais qui pouvait aussi ne pas l'être. Zerbo en est un exemple de joueur attaché et attachant, peu importe son niveau, bien que burkinabe de naissance il me semble. On parlera de l'époque Zerbo, car associé au 2 titres de 2014 et 2015.
Plus que la nationalité et le niveau d'un joueur, c'est son engagement envers le club qui le paie qui nous le fait adopter. Et même pour des joueurs bien français. On peut citer Eito par exemple, qui sert le club qui l'emploie comme celui de sa ville de naissance sans réticence sur son dévouement. Denave l'a fait pour Vichy, et même Cavalière, depuis qu'il est à la SIG est identifié comme un joueur du club. Toute aversion mise à part, Lesca entrerait dans cette catégorie de joueur qui se fondent dans un club et en défendant farouchement le maillot. Et d'ailleurs, ces mêmes joueurs, auraient peut être le même type d'engagement au service du club qui les paie s'ils étaient à l'étranger et qu'ils y soient considérés.
Si l'arrêt Bosman pouvait avoir un sens d'un strict point de vue européen (destinée commune des états membres), cela devient tout de suite plus confus quand le statut Cotonou y est associé avec les mêmes contraintes, car Cotonou renvoie aux anciennes colonies de certains état membres ; pas ce qu'il y a de plus glorieux.
Mais les libéraux européens n'avaient que faire de la notion d'identification spécifique dans le sport et l'attachement du public à une ville.
Ce qui était important, c'était le fameux plombier polonais de la directive Bolkenstein, et le rattachement des travailleurs au conditions de leur pays d'origine, fléau du transport routier, fléau des gros chantiers du bâtiment.
Aussi, on peut s'estimer heureux du quota de JFL (pas forcément français d'ailleurs) imposé par la LNB. Ce qui n'induit pas que ces mêmes français aient un rôle important dans l'équipe, réduisant d'autant l'attachement à l'équipe. C'est qui a déjà été reproché cette année sur ce même forum par plusieurs membres pour le CSP car peu de JFL n'ont jusque-là d'impact dans le fonctionnement du club. Et si Lang se retrouve bien seul, on peut espérer que Yeguete pourra conforter son aura en prenant plus de place dans le jeu. Ugolin pourrait le devenir si ses 5 ans de contrat lui permettent de se forger un avenir au CSP. Wojciechowski, très dévoué au club qui l'emploie, n'a que peu de chance d'être une personnalité de référence, une image "tutélaire". J'apprécie beaucoup de dernier par ailleurs, mais c'est autre chose.
Jusque-là, pour les 2 dernières décennies du moins, le CSP avait un bloc de joueurs assimilables à "français", mais qui pouvait aussi ne pas l'être. Zerbo en est un exemple de joueur attaché et attachant, peu importe son niveau, bien que burkinabe de naissance il me semble. On parlera de l'époque Zerbo, car associé au 2 titres de 2014 et 2015.
Plus que la nationalité et le niveau d'un joueur, c'est son engagement envers le club qui le paie qui nous le fait adopter. Et même pour des joueurs bien français. On peut citer Eito par exemple, qui sert le club qui l'emploie comme celui de sa ville de naissance sans réticence sur son dévouement. Denave l'a fait pour Vichy, et même Cavalière, depuis qu'il est à la SIG est identifié comme un joueur du club. Toute aversion mise à part, Lesca entrerait dans cette catégorie de joueur qui se fondent dans un club et en défendant farouchement le maillot. Et d'ailleurs, ces mêmes joueurs, auraient peut être le même type d'engagement au service du club qui les paie s'ils étaient à l'étranger et qu'ils y soient considérés.