Il se pourraient que les ruptures de contrat n'en soient pas vraiment. Si les gens sont relevés de leur fonction mais continuent à être payés chaque mois, il demeurent donc salariés. Cela a pu être le cas de Peyronnet ou Vérieras, ou d'autres. Cela s'est vu dans d'autres entreprises déjà.
Cela n'a qu'un avantage de procéder ainsi : limiter les sorties de trésorerie qui sont importantes en cas de licenciement (paiement du solde de tout compte en une seule fois, et cela peut chiffrer : indemnité de licenciement, indemnités transactionnelle, congés payés, charges sociales afférentes...)
Et soit l'entreprise a l'argent sur son compte et paie cash, soit elle fait appel à un concours bancaire, ... si la banque accepte de prêter ... ou si un actionnaire remet de l'argent frais.
Du coup si elle suspend l'effectivité du "travail" (plutôt qu'une rupture), la masse salariale augmente du fait des nouveaux recrutements, mais aussi toujours avec les salaires de gens qui n'ont plus de fonction réelles dans le club. Mais la trésorerie n'est pas mise en péril. Elle est juste plus tendue encore. Mais jusqu'à quel point peut elle tenir ?
Hors, ce sont les cessassions de paiement (trésorerie à sec) qui conduisent les entreprises sur la voie du redressement judiciaire.
Je ne sais pas ce que fait vraiment le CSP dans la gestion de ses contrats, mais c'est une hypothèse qu'il procède ainsi. Le lissage des contrats sur plusieurs saisons avec un salaire moindre permet de d'améliorer la trésorerie (peut-être les cas de Ginyard ou Bazille)
D'où un ratio peu flatteur avec une masse salariale sur-gonfflée au regard des gens vraiment en place pour le sportif.
Hypoyhèse donc, dont les causes seraient la vidange des caisses du club par l'ancienne direction, plus l'effet Covid pas totalement compensé par les aides.
Après, leur salade familiale interne, ce n'est pas guère différent que ce qui s'est fait depuis 2004. Pas bien sûr que ces salades soient la principale cause des problèmes actuels, mais ça peut jouer aussi.
Cela n'a qu'un avantage de procéder ainsi : limiter les sorties de trésorerie qui sont importantes en cas de licenciement (paiement du solde de tout compte en une seule fois, et cela peut chiffrer : indemnité de licenciement, indemnités transactionnelle, congés payés, charges sociales afférentes...)
Et soit l'entreprise a l'argent sur son compte et paie cash, soit elle fait appel à un concours bancaire, ... si la banque accepte de prêter ... ou si un actionnaire remet de l'argent frais.
Du coup si elle suspend l'effectivité du "travail" (plutôt qu'une rupture), la masse salariale augmente du fait des nouveaux recrutements, mais aussi toujours avec les salaires de gens qui n'ont plus de fonction réelles dans le club. Mais la trésorerie n'est pas mise en péril. Elle est juste plus tendue encore. Mais jusqu'à quel point peut elle tenir ?
Hors, ce sont les cessassions de paiement (trésorerie à sec) qui conduisent les entreprises sur la voie du redressement judiciaire.
Je ne sais pas ce que fait vraiment le CSP dans la gestion de ses contrats, mais c'est une hypothèse qu'il procède ainsi. Le lissage des contrats sur plusieurs saisons avec un salaire moindre permet de d'améliorer la trésorerie (peut-être les cas de Ginyard ou Bazille)
D'où un ratio peu flatteur avec une masse salariale sur-gonfflée au regard des gens vraiment en place pour le sportif.
Hypoyhèse donc, dont les causes seraient la vidange des caisses du club par l'ancienne direction, plus l'effet Covid pas totalement compensé par les aides.
Après, leur salade familiale interne, ce n'est pas guère différent que ce qui s'est fait depuis 2004. Pas bien sûr que ces salades soient la principale cause des problèmes actuels, mais ça peut jouer aussi.