Le sort d'Assad, qui a tant divisé Russes et Occidentaux, sera au centre des discussions au sein de cette "grande coalition" qu'Hollande appelle de ses voeux et qui semble prendre tournure. On découvrira alors et sans grande surprise que les Russes ne tiennent pas plus que cela à ce sanguinaire quâils considèrent comme un vassal, et qui, pour eux, peut être aisément interchangeable.
Reste qu'il appartient aux Occidentaux, dans le donnant-donnant qui va maintenant sâengager avec Moscou, de ne pas sacrifier, en contrepartie du soutien russe contre lâEI, les principes qui les unissent et qui, en particulier, ont fondé leur soutien à ... lâUkraine.
Reste qu'il appartient aux Occidentaux, dans le donnant-donnant qui va maintenant sâengager avec Moscou, de ne pas sacrifier, en contrepartie du soutien russe contre lâEI, les principes qui les unissent et qui, en particulier, ont fondé leur soutien à ... lâUkraine.