06-11-2025, 14:19:42
Il y aurait une solution : soit graduer les fautes qui amènent des LF (très difficile à gérer par les arbitres et source infinie de contestation), soit graduer le nombre de LF à tenter en fonction du nombre de fautes dans un QT, en NBA (6 fautes) ou Fiba (5 fautes).
4e faute => 1 ou 2 LF
5e faute => 2 ou 3 LF
6e => 3 ou 4
7e => 5 ou 6
8e => 7 ou 8
...
Arrêter le chronomètre par une faute deviendra impossible ou presque à cause des risques.
On peut même accentuer l'enjeu. Les 2 ou 3 premiers LF sont à tenter par le joueur ayant subi la faute, mais les autres le seraient par un jouer au choix de l'équipe non fautive, donc le meilleur tireur.
Soit les équipes défendront moins, soient les arbitres siffleront moins car ils seront conscients des enjeux sur le déroulement du match et ne voudront pas assumer de choisir le vainqueur par ce biais en sifflant sans retenue aucune, et donc plutôt les fautes bien marquées. Les arbitres siffleront moins facilement les 2 ou 3 premières, mais seront encore plus vigilants sur les suivantes. A l'inverse, les équipes essaieront de ne pas s'approcher du 1er seuil, et s'il y a faute, elle sera évidente et peu contestable.
Cela influencera les stratégies mises en œuvre de toutes façons, que l'on soit devant ou derrière au score. Au début, cela va ajouter de LF, mais avec l'habitude, coachs, équipes et arbitres trouveront un équilibre.
La graduation existe déjà au basket avec les fautes techniques et antisportives puis la 2e devient de facto disqualifiante.
Il faut bien essayer quelque chose, notamment en France ou cela en devient tragique-désespérant de voir 12 à 15 fautes par QT et les arbitres indemnes de leur décisions de modifier le spectacle sportif. Le 1er quart temps peut être redoutable à ce sujet ou les arbitres sifflent de très légers contacts renvoyant les meilleurs joueurs sur le banc pour de longues minutes alors que les mêmes arbitres laissent parfois passer des coups de massue en fin de match par peur de leur décision. Pas tous, mais pour certains trios, c'est bien vrai.
4e faute => 1 ou 2 LF
5e faute => 2 ou 3 LF
6e => 3 ou 4
7e => 5 ou 6
8e => 7 ou 8
...
Arrêter le chronomètre par une faute deviendra impossible ou presque à cause des risques.
On peut même accentuer l'enjeu. Les 2 ou 3 premiers LF sont à tenter par le joueur ayant subi la faute, mais les autres le seraient par un jouer au choix de l'équipe non fautive, donc le meilleur tireur.
Soit les équipes défendront moins, soient les arbitres siffleront moins car ils seront conscients des enjeux sur le déroulement du match et ne voudront pas assumer de choisir le vainqueur par ce biais en sifflant sans retenue aucune, et donc plutôt les fautes bien marquées. Les arbitres siffleront moins facilement les 2 ou 3 premières, mais seront encore plus vigilants sur les suivantes. A l'inverse, les équipes essaieront de ne pas s'approcher du 1er seuil, et s'il y a faute, elle sera évidente et peu contestable.
Cela influencera les stratégies mises en œuvre de toutes façons, que l'on soit devant ou derrière au score. Au début, cela va ajouter de LF, mais avec l'habitude, coachs, équipes et arbitres trouveront un équilibre.
La graduation existe déjà au basket avec les fautes techniques et antisportives puis la 2e devient de facto disqualifiante.
Il faut bien essayer quelque chose, notamment en France ou cela en devient tragique-désespérant de voir 12 à 15 fautes par QT et les arbitres indemnes de leur décisions de modifier le spectacle sportif. Le 1er quart temps peut être redoutable à ce sujet ou les arbitres sifflent de très légers contacts renvoyant les meilleurs joueurs sur le banc pour de longues minutes alors que les mêmes arbitres laissent parfois passer des coups de massue en fin de match par peur de leur décision. Pas tous, mais pour certains trios, c'est bien vrai.
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.