@Coubert'1: voici l'article:
Quelle influence pour Tyrell Terry ?
Le premier choix d’un second tour de draft NBA qui débarque en Betclic Élite à seulement 23 ans. C’est du jamais vu. Mais reste à voir si Tyrell Terry peut redevenir le joueur de très grande classe qui avait séduit les scouts de Dallas lorsqu’il portait les couleurs de Stanford. La présaison n’a pas pu répondre à cette question, le meneur US ayant été victime de plusieurs ennuis de santé. Et sa dernière sortie amicale à Cholet n’a pas levé tous les doutes entourant son physique frêle. Bien au contraire. Mais à écouter ses coéquipiers et le staff, le talent est bien là. Si Terry parvient à l’exploiter et à bien s’intégrer à son nouvel environnement alors le CSP pourra sans doute rêver un peu plus grand. Si ce n’est pas le cas, la mène pourrait vite devenir un problème pour Limoges.
Lucas Beaufort peut-il prendre une nouvelle dimension ?
Il a seulement 22 ans mais on lui en donnerait volontiers 30 tant il dégage parfois une maturité impressionnante pour son âge. Très bonne surprise de la dernière saison du CSP, l’Alsacien, qui fait partie des meilleurs défenseurs du championnat, doit désormais franchir une étape supplémentaire. Notamment en attaque où il demeure une menace encore toute relative malgré des qualités pour attaquer le cercle. S’il y arrive, il aura tout pour s’ouvrir les portes de l’Europe dans un avenir très proche. Le CSP se verrait bien en profiter.
Nicolas Lang toujours aussi indispensable ?
Depuis son arrivée à Limoges, il a toujours été le phare au milieu de la tempête. Cela a été encore plus vrai l’an dernier. À 34 ans, Nicolas Lang s’apprête à entamer sa sixième saison au CSP. Un anachronisme dans le basket français. Mais son niveau n’a pas baissé encore moins son degré d’exigence. Le prolonger au cours de cet été a sans doute été le meilleur recrutement du club limougeaud tant son apport sur et en dehors du terrain devrait encore être primordial pour le Limoges CSP.
Les jeunes vont-ils tous passer le cap de la Betclic Élite ?
Seulement 23 ans de moyenne d’âge. Avec notamment les arrivées de Vincent Amsellem (22 ans), Mamadou Guissé (22 ans), Alexandre Bouzidi (22 ans) et Mohamed Diarra (23 ans), le Limoges CSP possède la plus jeune équipe de Betclic Élite. Mais si le club limougeaud a anticipé le futur, n’a-t-il pas, en même temps, hypothéqué son présent ? Pas forcément. Si Beaublanc devra logiquement se montrer patient, certains joueurs ont déjà rassuré sur leur aptitude à s’adapter à ce nouveau niveau de jeu. C’est notamment le cas de Vincent Amsellem, déjà très en vue lors de la présaison. Le staff du CSP n’a pas non plus le moindre doute quant à la faculté de Mamadou Guissé à franchir le cap. Sur le papier, Mohamed Diarra, lui, a tout pour réussir. Meneur de grande taille au style très atypique pour le championnat, Alexandre Bouzidi semble, lui, être davantage un pari sur l’avenir.
Que penser du secteur intérieur ?
Beaucoup d’observateurs trouvaient le secteur intérieur du CSP un peu trop léger. Mais la présaison a été plutôt rassurante à ce niveau. Pas le recrutement le plus clinquant de l’été, Kenny Baptiste a été un des meilleurs Limougeauds depuis la reprise. De quoi donner un peu plus de temps d’adaptation à Malik Osborne. Sous les panneaux, Alexandre Chassang fait figure de garantie dans un championnat qu’il connaît parfaitement. La grande inconnue réside dans la capacité de Mohamed Diarra à rester dans son rôle. Longiligne et très vertical, il peut être une arme de dissuasion redoutable en défense. Le staff l’attend d’abord dans ce domaine. Mais « Mo », lui, a une appétence certaine pour le shoot extérieur… À voir si tout le monde parvient à trouver le bon équilibre.
Jean-Marc Dupraz est-il l’homme de la situation ?
Recruté en cours de saison dernière par l’ancienne direction, Jean-Marc Dupraz a été fidèle à lui-même. Pas de vague, du travail et du respect pour autrui. À son niveau, il a participé au maintien du CSP parmi l’élite et son contrat courant jusqu’à juin 2025 lui a permis de conserver son poste au cours de l’intersaison. Mais, loin de faire l’unanimité auprès des supporters, « JMD » sera très attendu au cours de cet exercice. En 2014, il avait mené au titre un groupe de vétérans parfois compliqué à gérer mais talentueux. Onze ans plus tard, il devra décrocher le maintien avec de jeunes joueurs pleins de promesses mais encore en voie de développement… Ce n’est pas le même métier.
Quelle influence pour Tyrell Terry ?
Le premier choix d’un second tour de draft NBA qui débarque en Betclic Élite à seulement 23 ans. C’est du jamais vu. Mais reste à voir si Tyrell Terry peut redevenir le joueur de très grande classe qui avait séduit les scouts de Dallas lorsqu’il portait les couleurs de Stanford. La présaison n’a pas pu répondre à cette question, le meneur US ayant été victime de plusieurs ennuis de santé. Et sa dernière sortie amicale à Cholet n’a pas levé tous les doutes entourant son physique frêle. Bien au contraire. Mais à écouter ses coéquipiers et le staff, le talent est bien là. Si Terry parvient à l’exploiter et à bien s’intégrer à son nouvel environnement alors le CSP pourra sans doute rêver un peu plus grand. Si ce n’est pas le cas, la mène pourrait vite devenir un problème pour Limoges.
Lucas Beaufort peut-il prendre une nouvelle dimension ?
Il a seulement 22 ans mais on lui en donnerait volontiers 30 tant il dégage parfois une maturité impressionnante pour son âge. Très bonne surprise de la dernière saison du CSP, l’Alsacien, qui fait partie des meilleurs défenseurs du championnat, doit désormais franchir une étape supplémentaire. Notamment en attaque où il demeure une menace encore toute relative malgré des qualités pour attaquer le cercle. S’il y arrive, il aura tout pour s’ouvrir les portes de l’Europe dans un avenir très proche. Le CSP se verrait bien en profiter.
Nicolas Lang toujours aussi indispensable ?
Depuis son arrivée à Limoges, il a toujours été le phare au milieu de la tempête. Cela a été encore plus vrai l’an dernier. À 34 ans, Nicolas Lang s’apprête à entamer sa sixième saison au CSP. Un anachronisme dans le basket français. Mais son niveau n’a pas baissé encore moins son degré d’exigence. Le prolonger au cours de cet été a sans doute été le meilleur recrutement du club limougeaud tant son apport sur et en dehors du terrain devrait encore être primordial pour le Limoges CSP.
Les jeunes vont-ils tous passer le cap de la Betclic Élite ?
Seulement 23 ans de moyenne d’âge. Avec notamment les arrivées de Vincent Amsellem (22 ans), Mamadou Guissé (22 ans), Alexandre Bouzidi (22 ans) et Mohamed Diarra (23 ans), le Limoges CSP possède la plus jeune équipe de Betclic Élite. Mais si le club limougeaud a anticipé le futur, n’a-t-il pas, en même temps, hypothéqué son présent ? Pas forcément. Si Beaublanc devra logiquement se montrer patient, certains joueurs ont déjà rassuré sur leur aptitude à s’adapter à ce nouveau niveau de jeu. C’est notamment le cas de Vincent Amsellem, déjà très en vue lors de la présaison. Le staff du CSP n’a pas non plus le moindre doute quant à la faculté de Mamadou Guissé à franchir le cap. Sur le papier, Mohamed Diarra, lui, a tout pour réussir. Meneur de grande taille au style très atypique pour le championnat, Alexandre Bouzidi semble, lui, être davantage un pari sur l’avenir.
Que penser du secteur intérieur ?
Beaucoup d’observateurs trouvaient le secteur intérieur du CSP un peu trop léger. Mais la présaison a été plutôt rassurante à ce niveau. Pas le recrutement le plus clinquant de l’été, Kenny Baptiste a été un des meilleurs Limougeauds depuis la reprise. De quoi donner un peu plus de temps d’adaptation à Malik Osborne. Sous les panneaux, Alexandre Chassang fait figure de garantie dans un championnat qu’il connaît parfaitement. La grande inconnue réside dans la capacité de Mohamed Diarra à rester dans son rôle. Longiligne et très vertical, il peut être une arme de dissuasion redoutable en défense. Le staff l’attend d’abord dans ce domaine. Mais « Mo », lui, a une appétence certaine pour le shoot extérieur… À voir si tout le monde parvient à trouver le bon équilibre.
Jean-Marc Dupraz est-il l’homme de la situation ?
Recruté en cours de saison dernière par l’ancienne direction, Jean-Marc Dupraz a été fidèle à lui-même. Pas de vague, du travail et du respect pour autrui. À son niveau, il a participé au maintien du CSP parmi l’élite et son contrat courant jusqu’à juin 2025 lui a permis de conserver son poste au cours de l’intersaison. Mais, loin de faire l’unanimité auprès des supporters, « JMD » sera très attendu au cours de cet exercice. En 2014, il avait mené au titre un groupe de vétérans parfois compliqué à gérer mais talentueux. Onze ans plus tard, il devra décrocher le maintien avec de jeunes joueurs pleins de promesses mais encore en voie de développement… Ce n’est pas le même métier.