29-05-2024, 23:21:28
Ce n'est pas parce que différents recours successifs peuvent encore durer au moins 1 mois que cela va durer autant.
Parce qu'il y des créanciers. Eux, la DNCCCG , ils s'en fichent. Ils attendent le projet Peluhet qui leur donne l'espoir de récupérer tout ou partie de leur factures, sans doute de manière échelonnée. Et avant eux, il y a des créanciers privilégiés, comme les salariés et les organismes fiscaux et sociaux.
Si le 5 juin, il n'y a toujours aucune recapitalisation, ils vont demander réparation au tribunal de commerce pour les impayés : = cessation de paiement. Là, CF perd la main sur la gestion du club.
Je ne crois pas qu'il faudra attendre si longtemps. La tenaille va se fermer très vite je pense. (et ce n'est pas celle de la 7eme compagnie !)
Parce qu'il y des créanciers. Eux, la DNCCCG , ils s'en fichent. Ils attendent le projet Peluhet qui leur donne l'espoir de récupérer tout ou partie de leur factures, sans doute de manière échelonnée. Et avant eux, il y a des créanciers privilégiés, comme les salariés et les organismes fiscaux et sociaux.
Si le 5 juin, il n'y a toujours aucune recapitalisation, ils vont demander réparation au tribunal de commerce pour les impayés : = cessation de paiement. Là, CF perd la main sur la gestion du club.
Je ne crois pas qu'il faudra attendre si longtemps. La tenaille va se fermer très vite je pense. (et ce n'est pas celle de la 7eme compagnie !)
L'Âme du CSP n'appartient qu'à ceux qui le supportent, pas à ceux qui le possèdent.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.
S'il y a un ordre des choses, alors il faut remettre les choses dans l'ordre.
Un grand mystère de l'Humanité : pourquoi les esclaves défendent-ils la cause de ceux qui les asservissent ?
Il n'est pire bienfaiteur que celui qui a intérêt à nous vouloir du bien malgré nous.