14-03-2019, 18:46:17
Merci pour vos retours.
Tout comme Jérome le dit, ce n'est pas (à court terme) le rôle de Picot dans le conseil de surveillance ou la place de Verieras comme président du club SASP Limoges CSP qui est fondamental, mais c'est celui de président de l'association CSP ELite, assos qui déteint la SASP à 84%.
C'est cette association qui a tout pouvoir de nomination dans le club. Et c'est bien elle qui est ingérable actuellement, tout simplement parce qu'elle n'a pas de président et que les membres sont incapables d'en élire un (3 voix contre 3, sans voix prépondérante). D'où la nomination d'un administrateur judiciaire par un juge.
De ce qui a été dit dans la presse, il "aurait" 2 missions je crois : tenir les assemblées ordinaires pour clore et approuver les comptes annuels (de l'assos, pas du club SASP), et bien sûr, essayer de démêler cet imbroglio de la prise de pouvoir dans l'assos en faisant élire un(e) président(e) dans l'association.
Dans l'entre-temps, les dirigeants du club sportif, la SASP Limoges CSP, ils font ce qu'il veulent. Ils recrutent ou licencient qui ils veulent (joueurs, coachs, personnels ....). Ces décisions sur les personnels, tout comme celles relatives à la collecte de fonds (partenaires et collectivités publiques), se poursuivent sans problème (en faisant abstraction du cas Ostrowski). C'est à ces endroits qu'à court terme ils peuvent/pourraient pratiquer la politique de la terre brûlée pour la saison à venir. Il donnent un contrat de 10 ans à Peronnet, et ça peut être très cher casser ensuite (c'est juste un exemple).
Pour l'instant, je n'ai pas lu ou entendu de retours de l'action de l'administrateur judiciaire dans l'association. Mais j'imagine bien que cela doit se décanter tôt ou tard. Et le plus tôt serait le mieux, pour le club.
Nous savons aussi que les fonds propres du club sportif (la SASP) étaient très élevés au moment du décès de FF. Ces fonds participent de la valorisation du club SASP. Or cette valeur est détenue à 84% par l'association et ses 6 membres actuels. Si ces fonds n'ont pas été dépensés ou "pompés" par divers artifices, ils restent disponibles notamment pour les projets du 3.0, qui pour l'essentiel, se réduit à de l'immobilier.
Parmi <<mes>> hypothèses, pour dégager une majorité dans l'association, ce qui débloquerait tout le bouzin, il faut qu'un des 6 membres démissionne ou change de camp (passe à l'ennemi). Dans les 2 cas, ce n'est peut être qu'une question d'argent, de beaucoup d'argent (plusieurs centaines de milliers d'euros peut être). Cette somme importante serait "en rapport" avec ce que vaut le CSP (club sportif). Mais je ne sais pas s'il est légal qu'un membre d'une association loi 1901 puisse accepter de démissionner ou voter pour pour quelqu'un pour une somme d'argent. Juridiquement, le montage initial était très tordu (assos loi 1901 pour détenir une société commerciale SASP) et je suppose que débrouiller ce bordel sera tout aussi tordu. Je pense que ce n'est pas qu'une question de pouvoir au sein du CSP, mais aussi une question d'argent.
Tout comme Jérome le dit, ce n'est pas (à court terme) le rôle de Picot dans le conseil de surveillance ou la place de Verieras comme président du club SASP Limoges CSP qui est fondamental, mais c'est celui de président de l'association CSP ELite, assos qui déteint la SASP à 84%.
C'est cette association qui a tout pouvoir de nomination dans le club. Et c'est bien elle qui est ingérable actuellement, tout simplement parce qu'elle n'a pas de président et que les membres sont incapables d'en élire un (3 voix contre 3, sans voix prépondérante). D'où la nomination d'un administrateur judiciaire par un juge.
De ce qui a été dit dans la presse, il "aurait" 2 missions je crois : tenir les assemblées ordinaires pour clore et approuver les comptes annuels (de l'assos, pas du club SASP), et bien sûr, essayer de démêler cet imbroglio de la prise de pouvoir dans l'assos en faisant élire un(e) président(e) dans l'association.
Dans l'entre-temps, les dirigeants du club sportif, la SASP Limoges CSP, ils font ce qu'il veulent. Ils recrutent ou licencient qui ils veulent (joueurs, coachs, personnels ....). Ces décisions sur les personnels, tout comme celles relatives à la collecte de fonds (partenaires et collectivités publiques), se poursuivent sans problème (en faisant abstraction du cas Ostrowski). C'est à ces endroits qu'à court terme ils peuvent/pourraient pratiquer la politique de la terre brûlée pour la saison à venir. Il donnent un contrat de 10 ans à Peronnet, et ça peut être très cher casser ensuite (c'est juste un exemple).
Pour l'instant, je n'ai pas lu ou entendu de retours de l'action de l'administrateur judiciaire dans l'association. Mais j'imagine bien que cela doit se décanter tôt ou tard. Et le plus tôt serait le mieux, pour le club.
Nous savons aussi que les fonds propres du club sportif (la SASP) étaient très élevés au moment du décès de FF. Ces fonds participent de la valorisation du club SASP. Or cette valeur est détenue à 84% par l'association et ses 6 membres actuels. Si ces fonds n'ont pas été dépensés ou "pompés" par divers artifices, ils restent disponibles notamment pour les projets du 3.0, qui pour l'essentiel, se réduit à de l'immobilier.
Parmi <<mes>> hypothèses, pour dégager une majorité dans l'association, ce qui débloquerait tout le bouzin, il faut qu'un des 6 membres démissionne ou change de camp (passe à l'ennemi). Dans les 2 cas, ce n'est peut être qu'une question d'argent, de beaucoup d'argent (plusieurs centaines de milliers d'euros peut être). Cette somme importante serait "en rapport" avec ce que vaut le CSP (club sportif). Mais je ne sais pas s'il est légal qu'un membre d'une association loi 1901 puisse accepter de démissionner ou voter pour pour quelqu'un pour une somme d'argent. Juridiquement, le montage initial était très tordu (assos loi 1901 pour détenir une société commerciale SASP) et je suppose que débrouiller ce bordel sera tout aussi tordu. Je pense que ce n'est pas qu'une question de pouvoir au sein du CSP, mais aussi une question d'argent.