Oh, ben moi, je n'ai aucun problème à redire que je trouvais le management de Forte médiocre, et encore moins de problème pour dire que ceux qui lui ont succèdé peuvent être plus médiocres encore. Je n'en suis pas encore à cette conclusion les concernant mais la façon de traiter la situation actuelle inclinera ma position dans un sens ou dans l'autre.
Et ce n'est pas parce que Forte est décédé que je le trouve meilleur manager aujourd'hui ; ça ne change pas ce qu'il a fait et comment il l'a fait. Pas plus que je ne le trouverais meilleur s'il s'avérait que l'équipe qui lui a succédé fait encore moins bien. D'ailleurs, dans le bilan de Forte, il y a des choses bien. Mais son management des hommes et du sportif fut très chaotique; bien plus guidé par l'instinct que par la méthode. Avec toutes les limites que cela inclut.
Le quatuor des dirigeants actuels complété de Diaz interpelle surtout aujourd'hui plus par sa communication désastreuse que par ses décisions managériales, exception faite de la gestion du cas Samuels, mais sans doute cela relève-t-il plus de Bourgain que de Picot, Lopez, Verieras et Ostrowski.
Pour le dire autrement, ce n'est pas parce ça n'a pas été franchement bon en 13 ans de Forte que ça ne peut être pire ensuite (ça en prend la tournure), sans qu'on puisse s'interdire d'espérer que cela soit meilleur un jour (ça a été les cas par le passé). On sait que les piédestaux sont faits pour tomber la plupart du temps.
Et ce n'est pas parce que Forte est décédé que je le trouve meilleur manager aujourd'hui ; ça ne change pas ce qu'il a fait et comment il l'a fait. Pas plus que je ne le trouverais meilleur s'il s'avérait que l'équipe qui lui a succédé fait encore moins bien. D'ailleurs, dans le bilan de Forte, il y a des choses bien. Mais son management des hommes et du sportif fut très chaotique; bien plus guidé par l'instinct que par la méthode. Avec toutes les limites que cela inclut.
Le quatuor des dirigeants actuels complété de Diaz interpelle surtout aujourd'hui plus par sa communication désastreuse que par ses décisions managériales, exception faite de la gestion du cas Samuels, mais sans doute cela relève-t-il plus de Bourgain que de Picot, Lopez, Verieras et Ostrowski.
Pour le dire autrement, ce n'est pas parce ça n'a pas été franchement bon en 13 ans de Forte que ça ne peut être pire ensuite (ça en prend la tournure), sans qu'on puisse s'interdire d'espérer que cela soit meilleur un jour (ça a été les cas par le passé). On sait que les piédestaux sont faits pour tomber la plupart du temps.