(12-04-2023, 22:19:29)Marcus5 a écrit : 2 saisons entières c’est pas arrivé depuis quand? Alors 3…

(13-04-2023, 00:33:51)switch a écrit : Le club a fait le choix de le laisser à son poste jusqu'à la fin de la saison, n'avait-il pas les moyens de le suspendre de ses fonctions pour une durée indéterminée (c'est à dire jusqu'au terme du championnat) suite à la défaite (de trop) face à Pau, nous étions en état d'urgence (de victoires) non ? Là, rien n'a été fait....  Cela n'aurait peut être rien changé mais à 8 ou 9 matchs de la fin, en général, tu cherches à faire bouger quelque chose,, tu tentes, tu espéres que les résultats s'inversent, là, nada. C'est bien la 1ere fois que je vois ça.. . en interne, les dirigeants ont continué de lui faire confiance,, ont-ils eu raison.... ? 🤔

(12-04-2023, 23:25:34)hv63 a écrit : On ne sait pas trop l'équilibre des décisions de recrutement entre MC et KA.
Mais une chose est sûre, et on l'a vu l'an passé, il faut des profils très particuliers pour que le coaching de Cancellieri réussisse.

L'an passé, cela a bien marché, surtout parce que 2 des 3 leaders offensifs (Harper et Massinburg) savaient tout à la fois faire vivre l'équipe en lâchant le ballon et prendre leurs responsabilités sur la base de leur talent propre.  Et Lang était abreuvé de ballons par Invernizzi/Crusol. Toute l'équipe était au service de ces 3 joueurs mais à côté, savait aussi prendre ce qu'il restait.

Cette année, le collectif s'est mal embouché, d'abord par la blessure en pré-saison de Jones, le départ contraint de Govens. S'est ensuivi  de la toute fin octobre à la mi-décembre la période faste du CSP, période qui aura "fait" toute la saison, permettant le top16 et donnant presque le maintien.

Mais il y a eu trop de profils qui n'ont pas "tenu la route mentalement" sous la pression du coach. Il n'y ont pas trouvé leur compte. D'abord Govens, trop tardivement remplacé par Kyzlink, puis Schilling, mal traité dans ses rotations en pivot, et Hawkins, qui s'est perdu quand le collectif s'est dissous tout autant qu'il était responsable de la dissolution.
Le coach n'a jamais su inverser cette tendance d’effritement du collectif d'un Jones trop soliste qui n'a pas su trouver le difficile équilibre qu'avait Harper. Le coup de grâce est venue du double évènement de la surcharge du calendrier et de la blessure de Rodriguez conduisant  aux mauvais résultats et demandes de départ de Schilling et Hawkins. Les venues de Kadj (inopéant), puis Klassen (dans l'urgence) n'auront rien changé.

Ce n'est pas que nous avons eu de mauvais joueurs. Mais la mayonnaise n'a pris que une courte période de 2-3 mois maxi avant de se défaire. Nous n'avons pas eu dans la durée les bons joueur pour ce coach.

(13-04-2023, 12:51:37)Jeanmichel a écrit :

(13-04-2023, 00:33:51)switch a écrit : Le club a fait le choix de le laisser à son poste jusqu'à la fin de la saison, n'avait-il pas les moyens de le suspendre de ses fonctions pour une durée indéterminée (c'est à dire jusqu'au terme du championnat) suite à la défaite (de trop) face à Pau, nous étions en état d'urgence (de victoires) non ? Là, rien n'a été fait....  Cela n'aurait peut être rien changé mais à 8 ou 9 matchs de la fin, en général, tu cherches à faire bouger quelque chose,, tu tentes, tu espéres que les résultats s'inversent, là, nada. C'est bien la 1ere fois que je vois ça.. . en interne, les dirigeants ont continué de lui faire confiance,, ont-ils eu raison.... ? 🤔

Avec quel argent ??

(12-04-2023, 23:25:34)hv63 a écrit : On ne sait pas trop l'équilibre des décisions de recrutement entre MC et KA.
Mais une chose est sûre, et on l'a vu l'an passé, il faut des profils très particuliers pour que le coaching de Cancellieri réussisse.

L'an passé, cela a bien marché, surtout parce que 2 des 3 leaders offensifs (Harper et Massinburg) savaient tout à la fois faire vivre l'équipe en lâchant le ballon et prendre leurs responsabilités sur la base de leur talent propre.  Et Lang était abreuvé de ballons par Invernizzi/Crusol. Toute l'équipe était au service de ces 3 joueurs mais à côté, savait aussi prendre ce qu'il restait.

Cette année, le collectif s'est mal embouché, d'abord par la blessure en pré-saison de Jones, le départ contraint de Govens. S'est ensuivi  de la toute fin octobre à la mi-décembre la période faste du CSP, période qui aura "fait" toute la saison, permettant le top16 et donnant presque le maintien.

Mais il y a eu trop de profils qui n'ont pas "tenu la route mentalement" sous la pression du coach. Il n'y ont pas trouvé leur compte. D'abord Govens, trop tardivement remplacé par Kyzlink, puis Schilling, mal traité dans ses rotations en pivot, et Hawkins, qui s'est perdu quand le collectif s'est dissous tout autant qu'il était responsable de la dissolution.
Le coach n'a jamais su inverser cette tendance d’effritement du collectif d'un Jones trop soliste qui n'a pas su trouver le difficile équilibre qu'avait Harper. Le coup de grâce est venue du double évènement de la surcharge du calendrier et de la blessure de Rodriguez conduisant  aux mauvais résultats et demandes de départ de Schilling et Hawkins. Les venues de Kadj (inopéant), puis Klassen (dans l'urgence) n'auront rien changé.

Ce n'est pas que nous avons eu de mauvais joueurs. Mais la mayonnaise n'a pris que une courte période de 2-3 mois maxi avant de se défaire. Nous n'avons pas eu dans la durée les bons joueur pour ce coach.

(14-04-2023, 10:51:09)personnes a écrit : Tout serait plus simple si la responsabilité reposait sur une seule personne. A quoi bon s'appuyer sur un directeur sportif alors que le coach peut faire ce travail. Le staff pléthorique du CSP cette année n'a rien apporté. Un coach, responsable du recrutement, un adjoint et un préparateur physique devraient suffire pour un match par semaine. Et ainsi, une part plus importante du budget pourrait être consacrée à la masse salariale joueur. Dans ce cadre, je garde Massimo et je juge à la fin de la saison prochaine.

(14-04-2023, 15:57:22)personnes a écrit : On peut peut-être faire comme le président : en prendre un fantoche...